Le Code de Snèfrou – Partie 9

Preuves mathématiques de la présence

de la culture hermétique de l’Égypte Ancienne dans  l’Occident du Moyen Âge et moderne, à partir de l’unité de mesure utilisée

pour la détermination des mesures

de la Grande Pyramide.

À la voix d’Isabelle Geffroy – dite « Zaz » –

pour m’avoir consolé chaque jour dans le silence

d’un amour qui ne chantera plus jamais

 

Enfant, certains ciels ont affiné mon optique: tous les caractères nuancèrent ma physionomie. Les Phénomènes s’émurent. -À présent l’inflexion éternelle des moments et l’infini des mathématiques me chassent par ce monde où je subis tous les succès civils, respecté de l’enfance étrange et des affections énormes. -Je songe à une guerre, de droit ou de force, de logique bien imprévue. C’est aussi simple qu’une phrase musicale.

A. Rimbaud

Première partie : CERTAINES OBSERVATIONS SUR LA MÉTROLOGIE DE LA GRANDE PYRAMIDE

 

  1. Peut-être, que la meilleure façon d’entrer dans le sujet de cet article est celle de résumer brièvement les résultats d’un travail conduit il y a longtemps sur la métrologie de la Grande Pyramide en relation aux anciens calendriers. On espère bien pouvoir le publier le plus tôt possible dans son intégralité, afin de démontrer ou, du moins, de montrer de la manière la plus claire possible que dans la Grande Pyramide coexiste, avec le mètre et la coudée, une troisième unité de mesure qui est restée inconnue jusqu’à aujourd’hui. N’ayant pas de nom à disposition nous pourrons l’appeler «  mètre de la Grande Pyramide ».

Cette unité de mesure nous a semblé le résultat du rapport entre la constante de Newton et la constante de Planck, même si les valeurs de G et de h, qui devraient être utilisées pour la déterminer, ne correspondent pas parfaitement à celles qui ont été vérifiées par voie empirique. Au contraire, elles sont apparues comme des entités qu’on peut, peut-être, définir « idéalisées », parce qu’établies selon une méthode utilisée dans l’antiquité mais pas dans la modernité : la méthode numérologique.

 

 

  1. Dans un passé, même récent, beaucoup de ceux qui se sont occupés de cette problématique ont pensé que le côté est-ouest de la Chambre du Roi, égal à environ 10,479 mètres, était l’équivalent de 20 coudées exactes. Nous pouvons arriver à la conclusion que une coudée de la Grande Pyramide serait égale à

 

10, 479 : 20 = 0,52395 mètres

 

Si l’on imagine qu’une coudée est composée de 52 parties – comparables donc à nos millimètres – nous verrons que ces millimètres – qu’on peut appeler « millimètres de la Grande Pyramide »  – équivalent à

 

52,395 : 52 = 1,007596153 millimètres

 

Cette valeur, qui se tire empiriquement de la Chambre du Roi, on peut la tirer aussi du « Chiffre de la Bête » ( biblique et donc, très probablement, aussi de l’Ancienne Égypte). Ce chiffre est, comme on  sait, le 666, qui semble faire clairement allusion au 6 périodique. Si on imagine de l’écrire comme 6,666.. et après on y ajoute 0,004 on a que

 

6,666 + 0,004 = 6,67 G = 6,67

 

Si on imagine de l’écrire comme 6,66 et après on enlève 0,004 ·10 = 0,04 on a que

 

6,66 – 0,4  = 6,62 ≈ h = 6,626..

 

Comme on voit, celles-là sont deux bonnes approximations, ou comme on pourrait aussi dire, deux idéalisations de G = 6,67 – la constante de Newton – e de h = 6,626 – la constante de Planck – construites par voie numérologique. Cette opération résulte encore plus intéressante lorsqu’on se rend compte que 0,04 on peut le penser comme une fonction de ɸ ( ce qui signifie qu’on peut penser 0,004 comme une fonction de ɸ et de 10). Et, ce qui est certain, ɸ est exactement une des trois valeurs constantes qui ont été codées dans les mesures de la Grande Pyramide (les deux autres valeurs, qu’on a vu en The Snefru Code partie 3 et partie 7, sont le nombre d’Euler et  π)

 

4(1 : 0,04) = 425 = 5 = ɸ + 1/ɸ

 

Ayant obtenu de cette manière deux approximations ou «  idéalisations » de G et de h, leur rapport nous donnera

 

6,67 : 6,62 = 1,007552870090.. (10,479 : 20) : 52 = 1,007596153 (-0,000041)

 

Cette valeur diffère de celle qu’on a défini comme le « millimètre de la Grande Pyramide » seulement de 41 millionièmes de millimètre. Les valeurs de la coudée que l’on peut tirer d’eux sont à leur tour sont très semblables au chiffre qui sort du rapport entre π et la constante qui sert à mesurer la vitesse de la lumière c = 2,9979246, multipliée par 2. En effet

 

π/2c = 0,523961.. 10,479 : 20 = 0,52395 (6,67 : 6,62) · 52/100 = 0,523927…

 

 

  1. Notre hypothèse est donc qu’une coudée de la Grande Pyramide correspond à 52 de ces unités de mesure fondamentales, qui à leur tour correspondent à 1,00755287.. · 1 de nos millimètres. Donc, une coudée constituée comme ça serait égale à 0,52392749.. de nos mètres. Ça ressemble aussi à cette mesure de la coudée qu’on peut tirer de l’approximation de ɸ qu’on trouve codée dans les mesures de la Grande Pyramide Khéops = 1,61859034..)

 

Khéops2 : 10 = (2 · 2,619834..) : 10 = 0,523966.. 0,523927.. (+0,000039)

 

De toute façon, si on se réfère à la mesure qu’on a tiré de 6,67/6,62, nous pouvons reconstruire le côté est-ouest de la Chambre du Roi de cette manière

 

[(1,007552870090.. · 52) : 100] · 20 = 10,478549..

 

La différence avec la mesure relevée est donc inférieure à un demi millimètre. Mais on doit tenir compte que la mesure que normalement on définit comme bonne (10,479) est en réalité une valeur moyenne. En fait, le côté est-ouest oscille entre un maximum de 10,4797 et un minimum de 10,4782. Donc cette mesure de la coudée qu’on a tiré de G/h – à son tour tirée en forme « idéalisée » du Chiffre de la Bête et d’une fonction de ɸ – semble capable de décrire de manière qui paraît satisfaisante les mesures de la Chambre du Roi.

Si cela est vrai, alors 440 de ces coudées seraient la mesure du côté de la Grande Pyramide, qui de cette façon correspondrait à

 

0,52392749.. · 440 = 230,52809.. mètres (en pratique, 230 mètres plus une coudée)

 

Actuellement les mesures empiriquement relevées, paraissent donner une moyenne de 230,36-7 mètres pour chaque côté. Si on découvrait que ces mesures empiriques ont été faites avec un minimum d’imprécision, on verrait que la mesure de la coudée, à laquelle on est arrivée par voie déductive – partant du Chiffre de la Bête et d’une fonction de ɸ – correspondrait à la vérité.

À ce point, on serait capable d’affirmer d’une façon bien fondée qu’une des origines – ou des « raisons » – du mètre, tel qu’on le connaît aujourd’hui, est une ancienne unité de mesure de la longueur qui correspond environ à 1,0075.. pour un de nos millimètres. Donc, divisée par G/h, elle nous consent de remonter à notre système décimal et donc aussi aux dimensions de la Terre.

À leur tour, les dimensions de la Terre nous renvoient à une diverse modalité de ce rapport G/h, qui devrait être à la base du « Mètre de la Grande Pyramide ».

En fait, nous avons déterminé la mesure du mètre de la Grande Pyramide sur la base de deux valeurs de G et de h établies par voie numérologique. Si par contre on prend leur valeur déterminée empiriquement, alors l’on a que

 

6,67/6,626 = 1,0066405..

 

Cette valeur correspond de manière presque exacte au rapport entre le rayon équatorial et polaire de la Terre, élevé au carré

 

(6378 : 6357)2 = 1,00330344..2 = 1,006617.. G/h = 6,67/6,626 = 1,0066405.. (-0,000023)

 

Ce même rapport, élevé à la seizième puissance, nous donne aussi une bonne approximation de la constante de Dirac, étant donné que

 

(6378 : 6357)16 = 1,00330344..16 = 1,054185.. ħ = 1,054571.. = G/h8 = (6,67/6,626)8 =

 

1,0066405..8 = 1,054375.. ħ = 1,054571..

 

 

  1. Le choix de cette unité de mesure démontrerait donc, tout seule, que les Anciens Égyptiens possédaient une très profonde connaissance scientifique de l’univers. Une connaissance qui venait probablement exprimée, selon les circonstances, avec des différentes unités de mesure, capables d’êtres interpolées entre elles de manière qu’un seul objet géométrique – comme par exemple la Grande Pyramide – pourrait être numérologiquement interprété d’une façon différente.

Par exemple, la hauteur exprimée en mètres correspond environ à 146,5. Si on la divise par 10 au cube et après on fait la racine quatrième, on arrive à une bonne approximation de ɸKhéops

Si on la divise encore par 10 au cube et après on fait la racine cubique, on arrive à une bonne approximation de la constante de Dirac.

 

3146,5 : 103 = 30,1465 = 0,52716.. ħ/2 = 0,52728..

 

Ou bien, si on divise la hauteur par 10 au cube et après on en fait la racine quatrième, nous obtiendrons une bonne approximation du nombre d’or

 

40,1465 = 0,61867.. ɸKhéops 1 = 0,61859..

 

Par contre, la racine 32ème du périmètre exprimé en mètres ( un périmètre « idéalisé », dans lequel sont exclus du calcul les chiffres décimaux ) nous donne une valeur très similaire à 2(ɸKhéops – 1), alors que la 128ème nous donne une valeur similaire à ħ

 

32920 = 1,2377084.. 2(ɸKhéops 1) = 2 · (1,61859034.. 1) = 2 · 0,61859034.. = 1,23718068..

 

128920 = 1,054762.. ħ = 1,054571..

 

Ici, nous avons pris en considération le nombre entier de la mesure du côté, et on a numérologiquement exclu les décimaux ( comme on a dit, chaque côté de la Grande Pyramide mesure environ 230,36 mètres ). Une chose que, dans l’antiquité, s’utilisait aussi pour pouvoir insérer des nombres d’intérêt scientifique dans le mythe. De cette façon le chiffre résultant était un peu inexact, mais symboliquement puissant et significatif. Par exemple, le prophète Hénok est enlevé au ciel à l’âge de 365 ans, même si le cycle solaire dont ce nombre est certainement un symbole dure 365,25 jours.

Cela signifie qu’au lieu de prendre en considération une mesure idéalisée – ou mythique – on pourrait aussi prendre en considération la mesure exacte du côté de la Grande Pyramide – incluant  donc dans le calcul, aussi les chiffres décimaux. À ce point, nous pourrions faire le rapport entre la moitié du périmètre, exprimé en mètres, et la mesure d’un côté exprimée en coudées. On aura alors une claire référence à π, étant donné que

 

 

460,72 : 440 = 1,0470909.. π/3 = 1,0471975.. 3(π – ɸ2) = 1,0471173..

 

Ici on peut observer en passant que cette même référence à π parait être contenue aussi dans la durée de l’année solaire, étant donné que sa 256ème racine nous mène exactement à ce rapport

 

(128365,25) · 3 = 1,047177.. · 3 = 3,141532.. π = 3,141592.. (-0,00006)

 

À ce point, il devient facile de noter qu’une valeur très similaire à la durée de l’année solaire, à niveau numérologique, correspond assez bien à la constante de Balmer, égale à 364,6 nm. On peut donc en déduire une bonne approximation de π , suivant le même processus

 

(128364,6) x 3 = 1,047162.. x 3 = 3,141488.. π = 3,141592.. (-0,000104)

 

Quoi qu’il en soit, revenant à notre sujet principal, on doit souligner que serait encore plus signifiante la référence à π qu’on trouve dans les mesures de la Grande Pyramide, si la mesure effective du côté était celle où on est arrivé ci-dessus par voie hypothético-déductive, à partir du Chiffre de la Bête. Dans ce cas la référence à π arriverait par moyen de la constante, qui nous sert  à mesurer la vitesse de la lumière, c = 2,9979246. Tenant compte que la moitié du périmètre de la Grande Pyramide correspond, avec une bonne approximation, à la vitesse de rotation de la Terre sur elle-même, exprimée en mètres par seconde (465 m/s), alors on obtiendra que les mesures fondamentales de ce chef-d’œuvre de l’architecture et de la science exprimeraient aussi le rapport entre ces deux grandeurs physiques fondamentales. Une chose qui ne nous étonnera pas, après tout ce qu’on a vu en The Snefru Code partie 3 et partie 7.

En fait

 

461,056.. : 440 = 1,047854.. π/c = 1,047922..

 

L’approximation de π qu’on pourra tirer de cette manière, serait vraiment bonne, étant donné que

 

1,047854.. · 2,9979246 = 3,1413.. π = 3,1415..

 

Le lecteur se sera rendu compte que ces chiffres contiennent aussi une claire allusion à une des mesures fondamentales de la Chambre du Roi, en particulier à ce côté est-ouest qu’on a pris en considération plus haut, qui mesure 10,479 mètres. La première – 1,0471975 – représente – comme on peut bien le noter tout de suite – environ un dixième de cette mesure. Si on ajoute 4 à la deuxième, nous obtiendrons de nouveau une autre bonne approximation, étant donné que

 

4 + 6,47436136 = 10,4743 (5 + 32ɸ) + 4 = 10,479

 

 

  1. Les motifs d’intérêt pour le côté de la Grande Pyramide ne terminent pas ici. Par exemple, on peut trouver une allusion au nombre d’or aussi dans la diagonale du carré de base de la Grande Pyramide mesurée en mètres, vu qu’elle est égale à

 

(230,362 ·  2) = (53065,7296 · 2) = 106131,4592 = 325,778..

 

La moitié de ce chiffre correspond au côté d’un des quatre triangles rectangles dont on peut décomposer le carré de base de la Grande Pyramide. Sa longueur est égale à

 

325,778.. : 2 = 162,889.. 100ɸ = 161,803..

 

Par contre la racine quatrième du périmètre exprimé en coudées (qui semble le périmètre « exact », c’est-à-dire celui où nous ne trouvons pas des chiffres décimaux) paraît comme une claire allusion à ɸ, étant donné que

 

41760 = 6,47706.. Khéops = 6,47436136 5 + 32ɸ = 6,47912..

 

Mais ci-dessus on a supposé que dans la Grande Pyramide coexiste – avec le mètre et la coudée  – une troisième unité de mesure, dérivée du rapport G/h, qu’on a appelé « mètre de la Grande Pyramide » (en lettres on pourrait l’appeler “mGP”). Si on la considère comme bonne – à niveau d’essai mental – nous constatons que le côté de la Grande Pyramide est égal à environ 228,8 mGP. La moitié de la diagonale qu’on a calculé ci-dessus serait une approximation presque parfaite d’un multiple du nombre d’or

 

(228,82 · 2) : 2 = 161,786.. 100ɸ = 161,803

 

Si du résultat obtenu on soustrait 100 (c’est-à-dire le multiplicateur de l’approximation de ɸ qui est à la base de la mesure obtenue) et après on fait quatre fois consécutives le logarithme naturel on arrive à une très bonne approximation de la constante de Dirac multipliée par – 1

 

Ln (Ln (Ln (Ln 61,786..))) = -1,054512.. ħ x -1 = -1,054571..

 

Si on applique un procédé similaire avec  (1/ɸKhéops)100 l’approximation qu’on obtient est encore meilleure

 

Ln (Ln (Ln (Ln 61,782))) = -1,054543.. ħ · -1 = -1,054571..

 

Suivant un procédé inverse, on peut obtenir une approximation de ɸKhéops  extraordinairement bonne de ħ · -1 = -1, 054571

 

1 : [inv. Ln (inv. Ln (inv. Ln (inv. Ln -1,054571..) : 100] = 1 : (61,77859.. : 100) =

 

= 1/0,6177859.. = 1,6186837.. ɸKhéops = 1,61859034.. (-0,000093)

 

L’aire de la base de la Grande Pyramide, mesurée en mGP  serait égale à

 

228,82 = 52349,44 2 · (1/ɸKhéops + 1)2 · 104 = 52346,93

 

 

  1. Tout ce qu’on a découvert jusqu’à maintenant à propos des mesures de la Grande Pyramide exprimées en mètres nous suggère que presque par la force des choses ces mêmes mesures exprimées en coudées doivent avoir aussi des motifs d’intérêt. En effet, par exemple, la racine de la moitié du périmètre nous mène à la durée d’un mois lunaire, la racine 32ème nous mène très proche du nombre d’or, tandis que la racine 128ème nous mène à une bonne approximation de ħ, étant donné que

 

880 = 29,66 29,53 durée du mois des phases lunaires exprimée en jours solaires

 

32880 = 1,23599.. 2/ɸ = 1,23606.. (-0,00007)

 

128880 =  1,054396.. ħ = 1,054571..

 

Comme nous le savons tous, la constante de Dirac « ħ » est un dérivé de la constante de Planck, étant donné que ħ = h/2π. À ce point personne ne s’étonnera si on peut tirer une bonne approximation de la constante de Planck faisant le logarithme naturel du côté de la Grande Pyramide exprimé en coudées plus 100 fois π. En effet

 

Ln (440 + 100π) = Ln 754,159.. = 6,6256.. h = 6,626

 

À ce point, il nous convient de montrer un autre détail qui pourrait être aussi vu comme fruit d’une pure spéculation. Mais on le montrera quand même en tant que curiosité.

Un des nombres à qui semble faire allusion la mesure du côté de la Grande Pyramide exprimée en coudées est le 2, et donc aussi le 20, étant donné que 20 · 22 = 440. Si on prend le 20 et on lui additionne π (un des nombre caractéristique du bâtiment) en faisant le logarithme naturel on a encore une fois une surprise

 

Ln (20 + π) = Ln 23,1415.. = 3,141631.. π = 3,141592.. (-0,000038)

 

 

 

  1. Les analyses qu’on a conduit nous enseignent probablement que très rarement les nombres typiques que nous trouvons dans l’architecture sacrée, comme dans les mythes de l’Ancienne Égypte, soient scientifiquement insignifiants. Par exemple, dans ses Histoires Hérodote nous en a transmis un qui paraît particulièrement mystérieux, le 341. Ce nombre correspondait, selon les prêtres de l’Ancienne Egypte, qui le communiquèrent au premier historien occidental, au nombre des files des statues qui à leur tour correspondaient au nombre des ancêtres de chaque prêtre encore en vie. Curieusement, ce nombre a aussi d’autres caractéristiques intéressantes, qui semble n’avoir rien en commun avec la succession des générations des prêtres de l’Ancienne Egypte.

La prémisse à ce raisonnement est qu’il existe un nombre que quand est élevé à la puissance de soi-même, nous donne le nombre d’Euler. Ce nombre est

 

1,76322283435..1,76322283435.. = e = 2,718281828459045..

 

Un premier élément d’intérêt de ce nombre est qu’on peut en tirer une bonne approximation aussi par ɸ

 

ɸ + 1/ɸ4 = 1,7639320225002103035908263312687

 

Mais l’aspect le plus important semble être un autre. Si on prend ce nombre et on en fait la section d’or, on trouve un nombre très similaire à celui que dans The Snefru Code partie 3 et partie 7 nous avons vu caractériser le rapport entre la masse du proton met le rayon classique du proton  rp, étant donné que

 

1,76322283435.. : 1,618033988.. = 1,089731.. mp/rp = 1,089576..

 

Ce nombre, comme on verra dans un prochain travail, est vraiment très important parce qu’il établit les rapports harmonieux dans le domaine des constantes atomiques. Mais, à part ça, si on fait le logarithme naturel de ce nombre on arrivera à

 

Ln 1,76322283435.. = 0,56714329040870816652189326568186

 

Faisant encore le logarithme naturel de ce nombre on arrive à un nombre égal à son négatif

 

Ln 0,56714329040..  = -0,56714329041..

 

Pratiquement, on peut arriver à un nombre très similaire à celui-ci en partant du chiffre qui est transmis à Hérodote par les prêtres de l’Ancienne Egypte. Faisant 3 fois consécutives le logarithme naturel de 341 on arrive à

 

Ln(Ln(Ln 341))) = 0,56720964896044106242479165324605

 

Le logarithme naturel est pratiquement égal à l’inverse de ce nombre, étant donné que

 

Ln 0,567209.. = -0,567026..

 

Cela signifie que faisant deux fois consécutives le logarithme naturel de 341, on se rapproche assez de ce chiffre qui, élevé à la puissance de soi-même, nous donne le nombre d’Euler

 

Ln(Ln 341)Ln(Ln 341) = 1,76333984314.. 1,76333984314.. = 2,71878033.. ≈ e = 2,718281828..

 

 

  1. Parfois il peut arriver que ceux qu’on peut définir « les nombres typiques » de l’Ancienne Égypte, puissent être utilisés, on pourrait dire, comme un système. Par exemple, si on prend le nombre caractéristique du sarcophage de Djedefre (234) et on l’additionne à celui des nombres des jours du calendrier solaire de l’Ancienne Égypte (365) on arrive à 599. Faisant par trois fois le logarithme naturel en partant de ce chiffre on arrive à

 

Ln (Ln (Ln 599)) = 0,618185.. ɸKhéops 1 = 0,618590.. 3Ln (e10/100) = 0,618187063..

 

De plus, divisant 234 par un autre nombre, sacré dans tout l’ancien monde et donc aussi pour les Anciens Égyptiens, on arrive au rapport qui existe entre le sixième et le septième nombre de la série de Fibonacci, étant donné que

 

234 : 144 = 13 : 8 = 1,625

 

Et cela représente peut-être une autre possible raison – en même temps mathématique et scientifique – pour laquelle les Anciens Égyptiens se préoccupaient de coder ce nombre à l’apparence tant insolite dans le sarcophage de Djedefre.

Qui a lu The Snefru Code partie 7 se rappellera peut-être que le nombre typique du sarcophage de Djedefre (234), en connexion avec le nombre typique du cycle de Sirius, donnait lieu à une approximation de π très intéressante que nous avions dénommée πDjedefre

 

(1461 : 234) : 2 = 3,121794871794.. π = 3,141592653589.. (-0,019797781..

 

Ce nombre était un résultat intéressant parce qu’il nous avait permis de calculer d’une façon exacte la constante gravitationnelle. Donc, si on prend la constante gravitationnelle et on fait l’inverse de son double logarithme, on aura que

 

1 : [Ln (Ln 6,672)] = 1 : 0,640758.. = 1,56065.. πDjedefre/2 = 1,56089..

 

Des situations semblables nous avertissent qu’il existe une manière de concevoir les mathématiques, qui n’a pas beaucoup à voir avec la nôtre. Ces mathématiques « autres » n’ont pas comme but celui de projeter un ordre dans le chaos, mais celui de découvrir un ordre caché dans un désordre apparent. Cela signifie qu’on peut partir à la recherche de relations, que dans l’Occident moderne discréditeraient l’honorabilité de n’importe quel mathématicien. Des situations probablement un peu approximatives, fondées peut-être sur le fait que le principe d’indétermination rend un peu approximatif n’importe quel chiffre. Quoi qu’il en soit, il s’agit de relations comme les suivantes

 

Ln π + c – 1 = Ln 1,14472988.. + 2,9979246 – 1 = 3,142654.. πKhéops = 22/7 = 3,142857..

 

(tg e° + 1) · 3 = (tg 2°,71828.. + 1) · 3 = (0,04747859.. + 1) · 3 = 1,04747859.. · 3 =

 

= 3,142435.. πKhéops = 22/7 = 3,142857..

 

sen c2 · 10 = 0,156219875..· 10 = 1,56219875.. πDjedefre/2 = 1,56089..

 

1/sen c2 = 1/sen 8°,98755190728516 = 1/0,1562198759.. = 6,401234..

 

Ln(Ln 6,401234..) = 0,61868.. ɸKhéops = 0,61859..

 

 

 

 

 

 

Deuxième partie: LE SYSTÈME TRIGONOMÉTRIQUE D’ORIGINE BABYLONAISE COMME CODE HERMÉTIQUE-SCIENTIFIQUE

 

 

  1. Une des conséquences les plus évidentes et importantes du raisonnement qu’on a conduit jusqu’à maintenant est que, en plus de la coudée, de la mi-coudée, etc., ces personnes connaissaient aussi le mètre, le décimètre, le centimètre, le kilo, le gramme, le litre et tout notre système métrique décimal. Il est seulement à cause de cela que le côté de la Grande Pyramide peut être défini par moyen du 440 – qui est sa mesure en coudées – et du 230 – qui est sa mesure en mètres (exclus les décimaux).

Ce fait démontrerait à son tour la fondamentale vérité de cette tradition hermétique – dont il été un adepte aussi Isaac Newton – qui attribuait à l’Ancienne Égypte une connaissance scientifique pleine et parfaite de l’univers. Il résulterait comme vraie alors aussi la conséquence logique de cette affirmation : que si dans le monde moderne on est arrivé à posséder une science – quoique par profondeur et perfection encore très éloignée de celle du passé – on le doit au fait que des fragments de cette ancienne connaissance se sont conservés et transmis jusqu’à nous. À part toutes les mathématiques et la géométrie grecques, qui ne seraient que l’héritage d’une pensée scientifique ancienne d’il y a des milliers d’années, il y aurait aussi tout le système métrique décimal. La Révolution Française n’aurait été que l’occasion prise par les possesseurs de cette connaissance secrète pour pouvoir la rendre finalement publique et publiquement utilisable, vainquant la résistance de l’Ancien Régime avec la force explosive des armées républicaines.

Quelqu’un pourrait penser que ces sont des affirmations d’un fou. Et donc penser que cette théorie  qu’on vient d’exposer ne serait pas une ébauche d’une véritable « théorie », mais une rêverie un peu folle et sans fondement, fruit de cette sorte de maladie mentale appelée « pyramidiotie » qui, selon les égyptologues  traditionalistes, affecte les « pyramidiots ». Le produit de cet état délirant seraient des pseudo-théories, parfois encore plus folles que celle qu’on vient d’ébaucher, que de quelque façon se réjouit d’un certain respect à cause du fait qu’elle a été suivie par un des plus grands génies de l’Occident. On pourrait, sans soucis, peut-être appeler « pyramidiot » un John Anthony West,  un Bauval ou  un Hancock. C’est plus difficile de faire une chose de la sorte avec un Isaac Newton, scientifique capable de mettre à point la première grande théorie scientifique occidentale, l’inventeur du calcul infinitésimal, un ingénieur qui sut inventer et construire le premier télescope à miroir.

 

 

  1. Eh bien, quoique cela puisse paraître bizarre, l’épreuve incontestable et définitive de la vérité et de la validité des hypothèses « pyramidiots » n’est pas dans un nouveau document trouvé je ne sais où, ou dans un nouveau film dans lequel les ovni survolent les Pyramides. Au contraire, il s’agit des équations qu’on trouve ci-dessous. Équations modernes, mais qui se servent d’une méthode très ancienne, c’est-à-dire la trigonométrie à base sexagésimale, avec les fractions de degrés, mais exprimées en centièmes.

Mais comment, se demandera le lecteur « traditionaliste », on ne sait pas tous que la trigonométrie à base sexagésimale a des origines qui datent même du monde babylonien ? Il s’agit d’un domaine que’vec la science moderne, ses procédures, ses bases théoriques, sa technique, ses unités de mesure n’a rien à voir !

De nouveau, on est conscients que cette objection semblera absolument évidente. Aussi évidente qu’il y aura quelqu’un qui aura considéré son exposition comme un gaspillage de temps ou un artifice rhétorique. Mais comme l’argument qu’on se prépare à affronter semble la démentir irréfutablement ( au moins dans la partie qui considère la trigonométrie babylonienne étrangère au contexte technico-scientifique comparable au nôtre ) bientôt le lecteur se rendra compte qu’avoir répété cette évidence a été quelque chose de très utile, ou même absolument nécessaire. Même seulement pour se rendre compte du gouffre qui s’ouvre sous nos pieds quand on suit les empreintes d’un raisonnement mathématique comme celui qui suit.

 

 

  1. Comme beaucoup le savent – même si normalement c’est une notion négligée par les archéologues – une des bases théoriques de notre mécanique plus avancée, la mécanique quantique, est la constante de Planck. Avec elle on a découvert que l’énergie n’est pas un fluide infiniment divisible, mais une entité, qu’on pourrait dire à l’état de poussières. Elle se transmet en effet par multiples entiers d’une quantité minime : au-dessous de cette quantité il n’est donc pas possible aucune émission ou réception d’énergie. Cette quantité minime correspond à une valeur constante, dont le symbole est h. Récemment on est arrivé à une valeur de 6,626 · 10-27 erg/s ( même si cette valeur normalement est exprimée comme 6,626 · 10-34 joule/s ). La valeur qui  originairement a été établie par Planck était légèrement inférieure, étant donné qu’elle valait, selon ses calculs, 6,55 · 10-27 erg/s.

La diversité de la valeur, selon l’idée qu’on a des valeurs constantes, correspond à une majeure   précision de la mesure moderne : il ne nous vient pas à l’esprit que le valeur de la constante puisse, au contraire, être variable : et variable, en effet entre les 6,626 e i 6,55 · 10-27 erg/s. Évidemment, les valeurs de ces constantes dépendent des unités de mesure utilisées : si au lieu d’utiliser les mètres et les kilos on avait utilisé les pouces et les livres, probablement ces valeurs seraient différentes.

 

Mais maintenant, les équations qu’on va exposer semblent établir un lien inextricable

 

1) Entre la valeur de h établie par Planck au début du siècle et celle qui est actuellement utilisée

 

2) Entre le système métrique décimal – occidental et moderne – et la trigonométrie à base sexagésimale – d’origines pas claires mais sans aucun doute très anciennes (la division de l’angle plein en 360 parties est attribuée aux babyloniens : mais on sait que les jours « purs » de l’ancien calendrier solaire Égyptien et Maya étaient justement 360 et cela fait  penser que ce système était plus répandu de ce qu’on pourrait penser aujourd’hui).

 

On arrive tout de suite au point. Si on prend un angle x dont le cosinus soit égal à 1 divisé par la constante de Planck, actuellement utilisée, et on exclut les puissances du 10, on a que

 

cos x = 1/h = 1/6,626 = 0,15092061575611228493812254753999

 

Cet angle est égal à

 

x = 81°,319718653708886232001844325622

 

Maintenant, qu’est-ce qu’il faut dire quand on découvre que la tangente de cet angle – qu’on a tiré par voie trigonométrique à partir de la constante de Planck actuellement utilisée – est exactement égale à la constante de Planck, mesurée par Planck même, au début du siècle ?

 

En effet

 

tg  81°,319718653708886232001844325622 = 6,55010..

 

Ce fait trigonométrique indiscutable semble prouver avec l’inexorable évidence de la logique mathématique qu’entre la constante de Planck mesurée au début du siècle et celle actuellement utilisée il y a une autre indiscutable proportion trigonométrique. Une proportion trigonométrique qui pourtant se fonde sur des chiffres établis d’il y a un nombre non précisé  de millénaires. Et cela pourrait indiquer que la constante ne soit pas une valeur fixe mais une valeur variable. Un premier signe de cette variabilité nous pouvons la trouver dans le fait que le rapport entre ces deux chiffres correspond d’une façon pratiquement exacte à une fonction de π. En effet

 

(6,626/6,55)4 = 1,011603..4 = 1,047226.. π/3 = 1,047197.. (+0,000029)

 

En effet, l’approximation de π qu’on peut tirer de 6,626/6,55 est

 

(6,626/6,55)4 · 3 = 3,141678.. π = 3,141592.. (+0,00008614283)

 

Curieusement, même l’erreur enregistrée semble avoir à faire de quelque façon avec π, étant donné que

 

16(8,614283752..) = 1,144066.. Ln π = 1,144729..

 

Il faut se souvenir que nous pouvons arriver à l’angle qui a pour tangente la valeur de h, mesurée par Planck au début du siècle, aussi multipliant le logarithme naturel de h = 6,626 par -1. Faisant après  ex  nous obtiendrons le cosinus de l’angle qui a pour tangente 6,55010..

 

Ln 6,626 · -1 = -1,8910013038777041192383179463264

 

e-1,8910013038777041192383179463264 = 0,15092061575611228493812254753999

 

Ce chiffre correspond au cosinus de l’angle de 81°, 319718.. dont la tangene est

 

tg 81°,319718.. = 6,5501050373257374199947425311201

 

Par contre, si on fait deux fois consécutives le logarithme naturel de 6,626 et après on le multiplie par -1 on arrive à

 

Ln(Ln 6,626) · -1 = -0,63710647919364175207081345904458

 

Si on fait ex avec ce nombre et on le multiplie par 2 on arrive à

 

e-0,63710647919364175207081345904458 · 2 = 1,0576407302833595003377279865383

 

Faisant la racine de ce nombre utilisant comme exposant le même nombre on arrive à une bonne approximation de ħ

 

1,0576407302833595..√1,0576407302833595.. = 1,054415.. ≈ ħ = 1,054571..

 

 

  1. Le choc qu’on peut éprouver vis-à-vis d’un fait qui paraît au même temps tant indéniable que incroyable, peut pousser à fermer les yeux et à refuser la réalité. C’est donc facile que même devant l’évidence on essaie en quelque façon de la nier, ou de la contourner, peut-être « en l’expliquant » en recourant pour la nième fois au concept du « hasard » (quoi qu’il soit). Il s’agit d’une échappatoire qui a été utilisée plusieurs fois, par exemple, en face aux merveilles techniques de l’Âge de la Pierre. Donc il est facile à prévoir qu’en beaucoup d’endroits s’essaiera de le faire encore une fois. Pour ce qu’il paraît, dans un certain type d’environnement culturel n’importe quel moyen est bon, pour nier que dans le passé ancestral de l’humanité on avait des connaissances scientifiques similaires aux nôtres ou que nos connaissances dérivent e ce passé.

Mais que cette fois on ne puisse pas parler d’un cas fortuit est démontré par le fait que cette séquence trigonométrique de « nombres scientifiquement signifiants » continue inexorablement.

En effet, pour arriver à ce premier résultat on avait pris la constante de Planck h=6,626 et on avait fait 1/x, en entendant le résultat de cette opération comme un cosinus. L’angle qu’on a reconstruit est celui qui a comme tangente h = 6,55. À ce point on peut continuer avec notre expérience. Si on prend la tangent de 81°,319718.. et on fait de nouveau 1/x, on a que

 

1/6,5501050373257374199947425311201 = 0,15266930748461368432061342269216

 

De cette manière on est arrivé à un résultat qui correspond au cosinus d’un angle égal à 81°,218.. et la tangente de cet angle divisée par 4 est presque identique à ɸKhéops

 

tg 81°,218.. = 6,47332.. Khéops = 6,47436..

 

Quoique il nous puisse paraître incroyable, on a obtenu un second résultat scientifiquement signifiant suivant une méthode de déduction trigonométrique, qui à première vue paraît tout à fait sans fondement. Pour vérifier si se traite d’un cas ou pas, on peut tenter d’avancer encore. Si on prend la tangente de 81°,218.. et on fait 1/x, on a que

 

1/ 6,4733203.. = 0,15448022809819092853944073660407

 

Ce chiffre correspond au cosinus du 81°,11334.., dont la tangente a la valeur

 

tg 81°,11334.. = 6,395613809479118322478001707081

 

Cette fois, il semble vraiment qu’on se trouve face à un chiffre complètement anonyme et insignifiant.

Mais combien cette impression soit fausse, on le comprendra en faisant deux fois le logarithme naturel

 

Ln(Ln 6,395613809479118322478001707081) = 0,61821.. ɸKhéops 1 = 0,61859..

 

 

  1. Donc pour la troisième et consécutive fois, on a obtenu un résultat scientifiquement signifiant. Les probabilités qu’une chose de ce type puisse arriver par hasard semblent tellement réduites qu’on pourrait s’arrêter ici. Mais puisque aux personnes qui croient au hasard les preuves mathématiques ne sont jamais suffisantes, nous pouvons continuer encore, pour voir ce qu’il arrive. Cela semble très utile aussi pour se rendre compte de la nature et de l’extension du code qu’on est en train d’étudier, que, nous le répétons, est fondé sur une trigonométrie qu’on commence à voir dans une époque qui oscille entre les deux et les trois millénaires av. J.-C. (mais ses origines devraient être énormément plus anciennes). Donc, si maintenant on prend la tangente de 81°,11334.. et on fait 1/x on a que

 

1/6,395613809479118322478001707081 = 0,15635715816953675300790569840083

 

Le résultat de cette opération correspond au cosinus de l’angle de 81°,0044.. dont la tangente est

 

tg 81°,0044.. = 6,3169514799466364113973812196679

 

Si à ce chiffre on enlève 6 on verra que 0,3169514790.. correspond au cosinus de l’angle de

 71°,52133..dont la tangente est égale à

 

tg 71°,52133.. = 2,9923878..

 

Celui qui a lu The Snefru Code partie 3 et 7 se sera rendu compte que 71°,52133.. c’est un angle extrêmement proche de celui qui a pour tangente c = 2,9979246, c’est-à-dire l’angle de 71°,55315.. : l’angle caractéristique de la plaque que le colonel Vyse a retrouvé à la fin du Puits Stellaire Sud de la Chambre du Roi.

L’angle avec une tangente parfaitement correspondante à

 

6 + cos 71°,55315.. = 6,316424771589220686556015382673

 

est celui de 81°,0037.. qui est seulement de 7 dix-millièmes de degrés inférieur à celui auquel on est arrivé par le calcul. C’est le moment juste pour observer que le chiffre de départ de cette séquence trigonométrique – la constante de Planck actuellement utilisée – aurait pu être  non celui déterminé par voie empirique, mais une valeur déterminée numérologiquement par moyen de π. En effet, si on procède de la manière qu’on voit ci-dessous, on obtient une valeur très proche de h

 

14·1011) = 6,62559660..

 

La validité numérologique de cette méthode résulte confirmée par le fait que, si on fait le rapport entre les exposants de cette opération, nous obtenons une bonne approximation de ɸ, étant donné que

 

(14/11)2 = 1,272727..2 = 1,61983.. ɸ = 1,61803..

 

tandis que du 11 on peut tirer une bonne approximation de ħ = h/2π

 

[(311) : 2] = 1,054509.. ħ = 1,054571.. [(2 + 5/10)/2] = 1,054420..

 

Une ultérieure confirmation de la validité de cette opération est le fait que par la même méthode   par laquelle on l’a construite, nous pouvons tirer aussi une bonne approximation de la constante gravitationnelle, étant donné que

 

 9ɸ2 · 107 = 6,67143.. G = 6,67 6,672

 

Dans ce cas, la somme des exposants des puissances nous donne l’exposant de la racine.

Il semble donc qu’on a trouvé une manière différente, entièrement à priori, d’établir une des constantes plus importantes de la physique. Une méthode fondée sur les puissances et les racines de nombres qui ont étés utilisés pour construire la Grande Pyramide.

Donc, si on part de cette valeur de h à laquelle on est arrivé par π, répétant la même séquence qu’on a fait plus haut (1/tg x = cos x ), on arrive enfin à un angle égal à 81°,00389.. dont la tangente est

 

tg 81°,00389.. = 6,3165283526279336851409104680127

 

Répétant l’opération qu’on a fait plus haut ( tg y – 6 = cos x ) on arrive à une valeur de                      c = 2,9979246 vraiment très bien approximée, étant donné qu’en soustrayant 6 de la tangente et interprétant le résultat comme un cosinus, on arrive à un angle égal à 71°,54689.. dont la tangente est 2,9968343.

Mais la manière dans laquelle h a été trigonométriquement codé nous laisse supposer que nous aurions pu choisir n’importe quelle valeur entre 6,626 et 6,55 : donc aussi celle par laquelle on arrive à la valeur exacte de l’angle qui a pour tangente c = 2,9979246. Cette valeur est environ 6,62549. Partant d’elle et suivant le même procédé (1/tg X = cos Y) on arrive à l’angle de 81°,003746699.. qui a pour tangente 6,3164477..et en soustrayant 6 de cette valeur on arrive au cosinus de l’angle de 71°,5531526.., qui a pour tangente c = 2,9979246.

Donc, il semble vraiment que la conséquence qu’on peut tirer de cette opération soit la suivante : on a trouvé des preuves mathématiques qui semblent incontestables de l’existence d’une progression trigonométrico-numérologique, qui lie les angles avec les tangentes égales à h en joule, jusqu’à celui avec la tangente égale à c = 2,9979246. Une progression qui fait que 1 divisé par la tangente donne le cosinus de l’angle successif, qui résulte toujours scientifiquement très  signifiant.

Pour l’instant on en a déjà trouvé quatre. Mais, incroyablement, cette progression ne s’arrête pas ici.

 

 

  1. En effet, si on prend la tangente de l’angle de 81°,0044.. et on fait 1/x on a que

 

1/6,3169514799466364113973812196679 = 0,1583042078405274818766322654889

 

Ce chiffre correspond au cosinus de l’angle de 80°,8915199.. La tangente de cet angle est égale à

 

tg 80°,8915199.. = 6,2372971710509352642320499754538

 

Si nous soustrayons 3 de ce chiffre et après on divise le résultat par 2 nous voyions que

 

(6,23729.. – 3) : 2 = 1,61864.. ɸKhéops = 1,61859..

 

Nous avons donc trouvé pour la cinquième fois consécutive un résultat scientifiquement ou mathématiquement signifiant. Ici il faut s’arrêter sur le fait que dans les deux derniers cas, la connexion entre la valeur de la tangente et la donnée obtenue  n’est pas aussi immédiate comme celle qu’on avait vu précédemment. Mais nous savons tous comme dans le passé de l’humanité les procédés que nous appelons, avec mépris, « numérologiques », étaient au contraire très respectés et considérés profondément signifiants.

Suivant cette tradition, pour arriver au résultat d’intérêt, nous avons utilisé deux nombres très importants pour la numérologie, c’est-à-dire le 6 et le 3. Le premier est un nombre qui se rapporte symboliquement tant au Chiffre de la Bête (le 666) qu’au nombre de jours employés par le Dieu de l’Ancien Testament pour créer le monde – outre qu’au système sexagésimal en général.

Quant au 3, les exemples qu’on pourrait présenter sont tellement nombreux, qu’en en citant seulement un, on fera injustice à tous les autres ( l’exemple historiquement le plus proche est peut-être l’idée de l’histoire comme thèse-antithèse-synthèse, inventée par Hegel et utilisée aussi par Marx, même si le charme de l’explication trinitaire fut pris en considération, quelque temps après, aussi par Freud, qu’expliquait la production onirique dans une manière similaire à celle de Hegel, comme 1) désir enfantin 2) activation diurne 3) rêve).

En plus, dans ce contexte le 3 résulte significatif au moins dans deux autres cas.

Quant au premier, si on fait 6,626 + 3 = 9,626 et on interprète le résultat comme un angle, on voit que son cosinus est égal à environ un dixième de la valeur de la constante qui nous sert à déterminer  la masse du proton mp

 

cos 9°,626 = 0,167216.. mp/10 = 0,16725

 

Le deuxième cas est encore plus significatif. Si on fait la section d’or de 3 (c’est-à-dire 3/ɸ), on arrive très près de ce nombre que, élevé à la puissance de lui-même, nous donne π. N’ayant pas un nom pour le définir, on l’appellera « Nombre de Khéops » (NKhéops), en honneur à ceux qui ont tant génialement codé cette constante très importante dans le plus grand chef-d’œuvre de l’architecture sacrée que l’humanité n’aie jamais construit.

 

3/ɸ = 1,854101966.. NKhéops = 1,8541059679.. (-0,000004)

 

Comme on a dit, si NKhéops élevé à la puissance de lui-même nous donne exactement π, étant donné que

 

1,8541059679.. 1,8541059679.. = 3,141592653.. = π = 3,141592653..

 

cela signifie que divisé par 3 il nous donne une très bonne approximation de 1/ɸ, étant donné que

 

1,8541059679.. : 3 = 0,618035322.. 1/ɸ = 0,618033988.. (+0,0000013)

 

cela démontre aussi que la section d’or du 3 a un rapport très proche de π, étant donné que

 

(3/ɸ)(3/ɸ) = 1,854101966..1,854101966.. = 3,141572.. π = 3,141592.. (-0,00002)

 

Donc le 3, en plus d’avoir plusieurs significations métaphysiques , il a aussi des significations mathématiques inexplorées, qui font qu’il peut être vu comme la synthèse des deux nombres sur la base desquels la Grande Pyramide a été projetée, c’est-à-dire ɸ et π. Donc, il peut être vu aussi comme la synthèse de l’esprit divin, qui a généré l’ordre du cosmos sur la base de ɸ et π.

 

 

  1. Nous pouvons trouver dans l’angle de la base de la Pyramide Rhomboïdale une preuve possible que les Anciens Égyptiens connaissaient ce nombre et ses propriétés. Cet angle n’a pas suscité les mêmes débats et les mêmes passions qu’a suscité celui de la Grande Pyramide. En revanche, le bon état du revêtement a consenti des opérations de mesure un peu plus confortables, et il semble qu’il soit d’environ 54°,5. Eh bien, l’angle de 54°,488125.. correspond plus ou moins à celui de la Pyramide Rhomboïdale. Son sinus est 0,81399.. et son inverse élevé au cube est égal au Nombre de Khéops

 

(1/0,81399..)3 = 1,22850855159..3 = NKhéops = 1,85410596792..

 

Nous rappelons que l’angle de 54° est strictement connexe au Chiffre de la Bête parce qu’on peut le tirer de l’angle plein divisé par 6,6666… D’autre part, l’angle de 54° est strictement connexe au nombre d’or parce que l’inverse de son sinus est exactement égal à 2/ɸ

 

1/sen 54° = 1/0,80901699.. =  1,23606.. = 2/ɸ

 

On voit que le Nombre de Khéops est lié numérologiquement à 54 parce que ses deux premiers chiffres sont le 18 et le 54 ( et 54 = 18 · 3 ). Et cela vaut aussi pour la constante de Dirac, étant donné que l’on peut construire numérologiquement une de ses bonnes approximations à partir de 54, de 10 et de 1 écrivant

 

1 + 54/103 + (54 + 10)/104 = 1,054571622.. ħ = 1,054571688

 

Mais en considérant cela, il semble qu’on pourrait dire que les résultats qu’on a obtenu jusqu’à  présent aient un bon fondement tant numérologique que strictement mathématique. Cela nous autorise à essayer d’avancer encore plus dans notre expérience mentale. Nous sommes arrivés à l’angle de 80°,8915199.. dont la tangente est égale à 6,2372971710509352642320499754538. Si nous faisons encore une fois 1/x nous avons que

 

1/6,2372971710509352642320499754538 = 0,16032585470534954574274424418415

 

Le résultat de cette opération correspond au cosinus d’un angle égal à 80°,774189.. Si on entend cet angle comme un nombre et on en fait la racine quatrième, on arrive à une approximation extraordinairement bonne de c = 2,9979246, étant donné que

 

480,77418950716283339560921274637 = 2,9979069.. c = 2,9979246 (-0,0000177)

 

La tangente de cet angle est égale à

 

tg 80°,774189.. = 6,1566123801974085300430291075319

 

Si on prend la valeur de cette tangente et on la divise par l’approximation de c, qu’on a trouvé en partant de l’angle dont est tangente et après on fait la racine cubique on arrivera à

 

3(6,1566123801974085300430291075319 : 2,9979069727404112497496745247847) =

 

= 32,0536368994030521460837273262119 = 1,2710848810387944588735941865114

 

Le résultat de cette opération est anonyme seulement à l’apparence. En effet, les passionnés de pyramidologie se seront déjà rendus compte qu’il correspond de manière presque totalement exacte tant au ɸ = 1,27201.. qu’à la tangente d’un angle égal à 51°,806.. inférieur seulement de 9/100 à celui de la Grande Pyramide (51°,817..).

On a donc obtenu pour la sixième fois un résultat scientifiquement signifiant. Nous pouvons alors essayer d’approfondir encore plus.

 

 

  1. Si nous prenons la tangente de l’angle de 80°,774189.. et on fait 1/x on a que

 

1/6,1566123801974085300430291075319 = 0,16242698715554600616683710941679

 

Ce résultat correspond au cosinus d’un angle égal à 80°,6522.. Sa tangente est

 

tg 80°,6522.. = 6,07485604767717932136058632162

 

Si on enlève 3 de ce nombre on arrive à 3,0748.., c’est-à-dire à une bonne approximation de la constante qui nous sert pour calculer le diamètre classique du proton (dp = 3,07). En le divisant par 4, et en faisant la racine et divisant encore le résultat par 2 on a que

 

(6,07485604767717932136058632162 : 4) : 2 = 0,61618.. p 1 = (ħG/c3) 1 =

 

=  1,616252.. – 1 = 0,616252..

 

Ce qu’on a symbolisé avec ℓp est la longueur de Planck, c’est-à-dire la distance la plus petite qu’on puisse décrire, au-dessous de  laquelle le concept de dimension perd chaque signification physique : on a donc obtenu pour la septième fois un résultat scientifiquement signifiant. Encore plus signifiant quand on se rend compte qu’en prenant 0,61618.., le multipliant par 10 et faisant deux fois le logarithme naturel on arrive encore une fois à ces données scientifiquement importantes, c’est-à-dire à 1 divisé par la constante qui nous sert à obtenir la masse du proton

 

Ln (Ln 0,61618.. · 10) = Ln (Ln 6,1618..) = 0,5979399.. 1/mp = 1/1,6725 = 0,5979073..

 

En plus, un nombre très proche de (ħG/c3) 1 = 0,616252.. nous pouvons l’obtenir aussi de h,  comme il fut fixé par Planck au début du siècle dernier, vu qu’en faisant la racine neuvième et la divisant par 2 on a que

 

(96,55) : 2 = 1,23223482291.. : 2 = 0,616117.. p 1 = (ħG/c3) 1 = 0,616252..

 

Comme on a déjà vu dans The Snefru Code partie 3 et partie 7, ce genre de rapports entre les constantes physiques constitue plus une règle qu’une exception. Par exemple, on peut tirer ħ à partir de la constante qui nous sert pour calculer la charge unitaire de cette façon

 

(1,6022 – 1) · π = 1,8918670959917734882022038454109

 

En faisant la racine 12ème on arrive à

 

121,8918670959917734882022038454109 = 1,054567.. ħ = 1,054571.. (-0,000004)

 

Du même chiffre on peut arriver aussi très près de ɸ

 

31,8918670959917734882022038454109 = 1,23679.. 2/ɸ = 1,23606

 

Vu le grand intérêt mathématico-scientifique de cette recherche, on pourrait tenter d’avancer encore. Mais comme les objectifs qu’on s’est posés dans ce travail transcendent les questions exclusivement mathématiques, il nous convient d’arrêter ici.

 

 

  1. Avant de passer à la prochaine partie de ce travail, nous faisons seulement deux dernières observations. La première est que la trigonométrie de ( présumée ) origine babylonienne est capable d’ordonner dans un rythme trigonométrique très précis, aussi deux valeurs que normalement on juge incommensurables, c’est-à-dire π et ɸ. Deux valeurs que dans le cours de ce travail sont devenues très familières. Comme on sait, pour passer des centièmes de degré aux soixantièmes de degré, nous avons besoin de prendre la partie décimale d’un degré, la diviser par 100 et la multiplier par 60. Alors, si on prend un angle égal à ɸ2/10 = 0,2618033988.., on le divise par 100 et on le multiplie par 60 on arrive à

 

(0,2618033988.. : 100) · 60 = 0,15708203.. π/20 = 0,15707963.. (+0,0000023)

 

L’approximation de π qu’on arrive à obtenir est vraiment optimale

 

0,15708203.. · 20 = 3,141640.. π = 3,141592.. (+0,0000479..

 

La deuxième chose qui nous reste à observer est que le point possible du début de cette série mathématique construite à travers la fonction cos x = 1/tg y pourrait ne pas être le 6,626. En effet comme il existe un nombre qui élevé à la puissance de lui-même nous donne π, il en existe aussi un qui élevé à la puissance de lui-même nous donne 360. C’est ce que l’on voit ci-dessous

 

4,141827188146.. 4,141827188146.. = 360

 

Si on multiplie ce nombre par ɸ on a que

 

4,141827188146.. · 1,618033988.. = 6,7016171659486335767923753847203

 

Appliquant à ce nombre la fonction cos x = 1/tg y on a que

 

cos x = 1/6,7016171659486335767923753847203 = 0,14921771495409601860513182175028

 

x = 81°,418405272032021391905951842329

 

tg 81°,418405272032021391905951842329 = 6,6265883.. h = 6,62606..

 

Si on répète les opérations qu’on a fait ci-dessus, on arrive à des résultats très similaires auxquels on est arrivés en partant de 6,626 « rond » (c’est-à-dire sans décimaux)..

Un trait très intéressant de ce nombre est que divisé par π il nous donne un résultat pratiquement identique à  1 + 1/π. En effet

 

4,141827188146../π = 1,318384.. ≈ 1 + 1/π  = 1,318309..

 

L’approximation de π qu’on peut en tirer est assez bonne

 

1/(1,31838454.. – 1) = 3,140856.. π = 3,141592..

 

En plus, on note tout de suite qu’une bonne approximation de ce nombre on peut la tirer de π, étant donné que

 

(π + 1)(π + 1) = 4,14159265358979323846264338327954,1415926535897932384626433832795 = 359,795..

 

Les éléments d’intérêt de cette technique de calcul ne finissent pas ici. Par exemple, comme il existe un nombre qui élevé à la puissance de lui-même nous donne 360, il y en a aussi un qui élevé à la puissance de lui-même nous donne 346,6, c’est-à-dire la durée de l’année des éclipses. C’est le nombre qu’on voit ci-dessous

 

4,126145.. 4,126145.. = 346,5978.. 346,6 année des éclipses

 

Donc si on divise ce nombre par le nombre de Khéops, nous obtenons une bonne approximation de 2, étant donné que

 

[(4,126145.. : 1,85410596792..) : 2] = (2,225409.. : 2) =

 

= 1,112704.. = 1,054848.. ħ = 1,054571..

 

Naturellement, comme il y a un nombre qui élevé à la puissance de lui-même nous donne la durée de l’année des éclipses, de la même manière il y a un nombre qui élevé à la puissance de lui-même nous donne la durée de l’année solaire. On le voit ci-dessous

 

4,1478055.. 4,1478055.. = 365,25022.. 365,25 année solaire

 

Si on le divise par le nombre de Khéops et on y ajoute 1, et après on le divise par 2, on arrive à une très bonne approximation de ɸKhéops, étant donné que

 

[(4,1478055.. : 1,85410596792..) + 1] : 2 = 3,2370919.. : 2 = 1,618545965..

 

ɸKhéops = 1,61859034..

 

Il est aussi remarquable le fait que ce nombre puisse être tiré d’une fonction du 4 et du dans la manière qu’on voit ci-dessous

 

4 + (1/10 · 32ɸ) = 4 + (1/10 · 33,23606..) = 4 + (1/10 · 1,47912..) =

 

= 4 + 0,147912.. = 4,147912..

 

L’approximation de la durée de l’année solaire qu’on peut tirer semble de nouveau assez bonne, étant donné que

 

4,147912.. 4,147912.. = 365,34..

 

Enfin, une observation qui peut-être est plus qu’une curiosité. Comme il y a un nombre qui élevé à la puissance de lui-même nous donne le nombre des jours « purs » du calendrier de l’Ancienne Égypte (360), ainsi on a un nombre qui élevé à la puissance de lui-même nous donne le nombre des jours de la soi-disant « année Tzolkin », une mystérieuse année Maya, qui durait 260 jours

 

4,006494972521.. 4,006494972521.. = 260 nombre de jours du calendrier Maya Tzolkin.

 

Le double de ce chiffre divisé par 13 (le nombre de jours du « mois » du calendrier Tzolkin, constitué par 20 unités de 13 jours) donne une bonne approximation de la longueur de Planck – 1

 

8,012989945042.. : 13 = 0,616383.. p 1 = 1,616252.. 1 = 0,616252

 

On s’arrête ici. Mais il est tout à fait clair que cet argument mérite d’autres approfondissements, qu’on présentera dans une autre partie.

 

 

 

Troisième partie : L’HÉRITAGE HERMÉTIQUE DE L’ANCIENNE ÉGYPTE DANS LA CULTURE OCCIDENTALE

 

 

  1. Nous répétons peut-être une chose évidente, mais dans un contexte de ce genre il vaut mieux la répéter, étant donné que ce qu’on a découvert met en question tout ce que jusqu’à maintenant était considéré comme évident. Une merveille mathématico-numérologique semblable – c’est-à-dire la possibilité d’enchaîner dans une séquence trigonométrique inexorable des valeurs tant importantes pour la science que pour la géométrie – évidemment – ne peut pas dépendre seulement du système trigonométrique qu’on a utilisé : l’angle plein subdivisé en 360 degrés et après en centièmes de degrés. Il doit forcément dépendre aussi d’autres trois facteurs qui se lient à celui-ci, de manière à former ce système logico-mathématique dont on vient de voir les effets stupéfiants. Ces trois facteurs sont :

 

1) Les unités de mesure avec lesquelles on a établi la constante de laquelle on est parti, c’est-à-dire la constante de Planck, mesurée en erg ou joule/s

 

2) Les unités de mesure avec lesquelles on a établi la constante c = 2,9979246

 

3) Le jour solaire comme unité de mesure fondamentale des cycles cosmiques

 

Comme l’on sait, 1 joule est 1 kg · 1 m2/1 sec2  et est exactement équivalent à 1 · 107 erg. Par contre 1 erg, est équivalent à 1 gr · 1 cm2 · sec2 . La vitesse de la lumière est exprimée très souvent en millions de mètres par seconde, ou bien avec le système décimal. Çela signifie :

 

1) Que les personnes qui ont établi la proportion trigonométrique entre la constante de Planck actuellement adoptée et celle mesurée par le même Planck au début du siècle dernier connaissaient le système métrique décimal, la division du temps en secondes (et donc en minutes et heures) et le poids en kg, gr, et donc en quintaux et tonnes, etc.

 

2) Que, selon toute probabilité, la constante de Planck n’est pas une valeur fixe, mais elle oscille entre un minimum qui correspond à la valeur établie par Planck lui-même au début du siècle dernier et à un maximum égal à celui qui est actuellement adopté par la praxis scientifique

 

3)Tout ce qu’on a vu jusqu’à maintenait démontre aussi que ces unités de mesure – comme le code trigonométrique qui les englobe – n’ont pas été établies pour un simple besoin d’une convention, mais pour créer une harmonie numérologique entre toutes les données quantitativo-mathématiques qui déterminent le cosmos : et donc, comme on a déjà largement vu dans The Snefru Code partie 3 et partie 7 et comme on le verra encore mieux dans The Snefru Code partie 10, entre les nombres caractéristiques de la science et ceux des cycles cosmiques.

 

Pour prendre un exemple, si le mètre était vu comme le même segment de circonférence terrestre mais divisé par 50 millions, ou si l’angle plein était divisé en 400 parties, toute cette harmonie sauterait. Le 360 ne pourrait plus se référer en même temps au cycle solaire annuel et à celui de précession, comme on a vu dans The Snefru Code partie 7 etc.

De plus, on se rend compte que le 360 a un rôle très spécial par rapport à l’angle plein, aussi par le fait que le rapport particulier qu’on voit ci-dessous

 

360/2π = 57,295779513082320876798154814105…

 

constitue la limite vers laquelle tendent  les fonctions x°/sin x° e x°/tg x°, avec x° qui tend vers 0. Pour faire un exemple, si on prend x = 10-20  on a que

 

10-20/sen 10-20 = 57,295779513082320876798154814105

 

et cela pratiquement signifie alors qu’on peut penser à π non seulement comme au rapport entre le diamètre et la circonférence d’un cercle, mais aussi comme à la limite de la fonction

 

Lim x0  {[(360/(x/sen x)] : 2} = π

 

Cela veut dire que celle qu’on considérait l’unicité de π sera, comme minimum, mise en discussion à partir de l’unicité de la particulière relation du 360 avec la trigonométrie. De cette façon, le 360 semble à son tour revendiquer sa propre unicité entre les nombres entiers: même en n’étant pas un nombre premier, ni même en ayant les caractéristiques qui, à première vue, le peuvent distinguer des autres nombres entiers, il s’affirme comme la mesure de la circonférence d’un cercle aux caractéristiques qui semblent absolument uniques. Un cercle duquel on peut tirer le rayon sans passer par π.

Cette affirmation est confirmée par le fait qu’aussi la fonction tg x cos x semble avoir une signification scientifique très importante, puisqu’en elle est codé ɸ, c’est-à-dire le second nombre fondamental qu’a été codé dans les mesures de la Grande Pyramide

 

Lim tg x sen x = 0,786151377.. = 1/ɸ

 

Mais ce n’est pas tout. L’inverse du sinus de 10-20  est

 

1/1,74532925199432957692369.. · 10-22 = 57,2957795130823208767981.. · 10-20

 

Dans ce cas particulier, si on fait la racine 128ième de ce nombre on a

 

1285729577951308232087679,8154814105 = 1,479058.. 32ɸ = 1,479128..

 

Dans le cas où on prendrait x = 10-30, l’inverse du sinus serait

 

1/1,7453292519943295769236907.. 10-32 = 57295779513082320876798154814105

 

la racine 64ème de ce nombre nous mène à une bonne approximation de π

 

6457295779513082320876798154814105 = 3,134878.. π = 3,1415..

 

Si par contre on prend x = 10-3 l’inverse du sinus est alors

 

1/sen 10-3 = 57295,77951599120296355874866048

 

La racine 64ème de ce chiffre correspond au rapport entre la masse du proton et son rayon classique mp/rp  qui, comme on a vu en The Snefru Code partie 3 et partie 7, correspond à une fonction de π et de ɸ

 

6457295,77951599120296355874866048 = 1,089363.. mp/rp = 1,089576..

 

Si par contre on prend x = 10-2  l’inverse du sinus devient

 

1/sen 10-2 = 5729,5779803970530576298602606683

 

La racine 64ème de ce chiffre est

 

645729,5779803970530576298602606683 = 1,144776.. Ln π = 1,144729..

 

L’approximation de π que l’on peut en tirer est

 

e1,144776.. = 3,141738.. π = 3,141592..

 

Si par contre nous prenons 360/2π et nous le divisons par le nombre de Khéops NK élevé au carré on trouve un nombre très similaire à 100/60 · 10, c’est-à-dire à la constante qui nous sert pour transformer les soixantièmes de degré en centièmes de degrè, multipliée par 10

 

(360/2π)/NK2 = 57,295779.. : 3,437708.. = 16,66685..

 

Si par contre on divise (360/2π) par le nombre de Khéops élevé au cube, nous obtenons une bonne approximation de c2 = 8,9875519..

 

(360/2π)/NC3 = 57,295779.. : 6,373876.. = 8,989157235.. c2 = 8,9875519..

 

 

  1. On doit reconnaître que la signification de ces relations ne nous est pas encore claire; si elles cachent un système de ce genre ou autre chose. Mais il semble clair que des choses de ce genre ne pourraient pas se vérifier si l’angle plein était défini par un nombre différent, comme le 100. Cela  signifie que l’angle plein, divisé en 360 parties (et donc aussi l’angle avec une circonférence égale à 360 unités, de n’importe quel type), a un rapport très spécial avec la constante qui nous sert à calculer la circonférence à partir du rayon () et la constante de Dirac à partir de celle de Planck (ħ = h/2π). Cela probablement signifie quelque chose, étant donné qu’à partir de 360/2π et du logarithme naturel de π on peut arriver à une valeur de la constante de Planck comprise dans l’intervalle entre celui qu’on utilise aujourd’hui et celui qui fut établi par le même Planck au début du dernier siècle (donc une valeur qui pour une certaine période a été considérée exacte). En effet,

 

(360/2π) :(Ln π)16 = 57,295779.. : 1,144729..16 = 57,295779.. : 8,694574.. = 6,589831..

 

D’autre part, on voit qu’on peut arriver à une bonne approximation du 360, à partir de la racine de π et par son logarithme naturel

 

inv. Ln (inv. Ln √π) = 359,702481..

 

Ln π · 100 · π = 114,472988584.. · π = 359,6274999..

 

Et c’est ici qu’ il faut remarquer que

 

(Ln π · 100) – 110 = 4,472988.. 25 = 4,472135..

 

En plus, du sinus et du cosinus de (360/2π) on peut arriver à une excellente approximation de ɸKhéops

 

{[sen (360/2π)° + cos (360/2π)°] 1} = 0,381773290.. = 0,617878.. 1/ɸKhéops = 0,617821..

 

Par contre, de l’angle de 76 degrés, on peut également arriver à une bonne approximation soit de π qu’aussi de ɸKhéops. Divisé par son cosinus, il nous donne une bonne approximation de 100π

 

76° /cos 76° = 314,1509.. 100π = 314,1592..

 

On arrive à l’approximation de ɸKhéops  faisant trois fois consécutives la racine de son logarithme naturel

 

Ln(Ln(Ln 76) = 0,38235.. = 0,61835.. ɸKhéops 1 = 0,61859..

 

D’autre part, l’inverse de son cosinus nous donne le rapport entre les jours de l’année solaire et  les jours de l’année lunaire, étant donné que

 

1/sen 76° · 354,36 = 1,0306136.. · 354,36 = 365,208..

 

Si par contre nous prenons l’angle de 54 degrés (qui s’obtient en divisant 360 par 6,666.. c’est-à-dire par le Chiffre de la Bête) nous nous rendons compte que si on le divise par son cosinus nous obtenons une valeur bien rapprochée de la constante gravitationnelle multipliée par 10

 

54°/sen 54° = 66,74.. 10G = 66,72

 

 

  1. La construction d’une vision harmonique-scientifique du monde semblable doit avoir pris – au minimum – des dizaines de milliers d’années, en admettant que ça n’ait pas été un don du divin à l’humain, comme soutient Isaac Newton sans aucune ironie.

En effet, son aspect le plus étonnant et incroyable est que l’intime harmonie du cosmos qui se reflète dans le code mathématique constitué par le système métrique décimal, par celui trigonométrique fondé sur 360 et par celui astronomique fondé sur le jour solaire, peut être connue seulement à partir du code qui est capable de la refléter. Lue à travers un autre code elle se perd inexorablement. Il en suit donc spontanément cette question – terrible, cryptique, abyssale : comment cela ce fait que ce code ait pu s’établir, si la possibilité du pouvoir l’établir repose sur sa même connaissance ? Ces êtres qui l’ont constitué étaient des hommes, des dieux ou quoi d’autre pour pouvoir arriver à un résultat qui semble aussi haut et profond, tant ardu qu’enfin il paraît inconcevable ?

Il faut penser seulement que beaucoup des angles qu’on a pris en considération ont aussi d’autres caractéristiques particulières, autres que celles qu’on a analysé. Par exemple, l’angle de 81°,41765.. qui a pour tangente la constante de Planck actuellement utilisée (6,626) a aussi une autre caractéristique intéressante. Faisant 1/x avec la valeur de son sinus et le multipliant par 16 on découvre que le résultat que nous obtenons est égal à environ 10 fois ɸ. Et 16/10 = 1,6 correspond d’une façon pratiquement parfaite au rapport entre les centièmes et les soixantièmes de degré (qui, comme on a vu, en réalité est égal à 100/60 = 1,6666..)

 

1/sen 81°,417.. · 16 = 1/0,988802.. · 16 = 1,011324.. · 16 = 16,1811.. 10ɸ = 16,1803..

 

Si plutôt nous allons voir l’angle réciproque de celui avec tangente égale à 6,55…, c’est-à-dire celui de 8°,68028.., nous nous rendons compte aussi ici d’une nouvelle caractéristique qui – qui sait – peut-être à ce point ne nous apparaîtra plus comme bizarre. En effet, en faisant la racine seizième (de nouveau le 16!) de la valeur de l’angle nous trouvons une bonne approximation de π

 

168°,68028.. = 1,144612.. Ln π = 1,14472988..

 

L’approximation de π que nous obtenons est

 

e1,144612.. = 3,1412.. π = 3,1415..

 

Et quoi devons-nous penser, quand nous nous rendons compte qu’en faisant le logarithme naturel de 6,55 et en le divisant pour 3, nous obtenons un chiffre égal à la constante de Planck actuellement utilisée, moins 6 ?

En effet

 

Ln 6,55 : 3 = 1,879465.. : 3 = 0,626488.. h 6 = 6,626 6 = 0,626

 

 

  1. Dans The Snefru Code partie 3 et partie 7 on a largement vu que, dans le passé de l’humanité on a utilisé cette trigonométrie que nous croyons d’origine babylonienne pour coder des données scientifiques de tous types. Par exemple, nous nous sommes rendus compte qu’en additionnant sinus, cosinus et tangente de l’angle égal à π/2 on obtenait une bonne approximation de la constante de Dirac.

 

sen π/2 + cos π/2 + tg π/2 = 0,027412.. + 0,999624.. + 0,027422.. = 1,054469.. ħ = 1,054571..

 

Mais plus haut on a vu qu’en utilisant la constante pour passer des centièmes de degré aux soixantièmes de degré, on peut passer de ɸ2 à une approximation vraiment bonne de π/2. Cela signifie aussi que dans ce cas nous trouvons une sorte de « chaîne trigonométrique » qui va de ħ à ɸ2  passant pour π/2. D’autre côté, on avait bien vu qu’avec Khéops  nous pouvons remonter à la tangente d’un angle qui à son tour résulte connexe à ceux qui ont pour tangente 6,626 et 6,55. En plus, comme nous le savons tous, 6,626/2π = ħ. Mais on a vu que

 

14· 1011) = 6,6255966..

 

Donc

 

14· 1011) : 2π = ħ

 

À son tour, l’unité fondamentale de la trigonométrie – c’est-à-dire l’angle plein  de 360 degrés – on peut la tirer d’un des nombres qui servent comme clé pour crypter des données scientifiques, c’est-à-dire π. En faisant deux fois l’inverse du logarithme naturel de la racine de π nous arrivons à

 

inv. Ln (inv. Ln. √π) = 359,70248169268827148947907603052

 

En faisant deux fois l’inverse du logarithme naturel de la racine de πKhéops = 22/7  on arrive à

 

inv. Ln(inv. Ln. √πKhéops) = 360,45846169895552941793596460418

 

La moyenne de ces deux valeurs est 360,0804.. Il faut remarquer aussi que la valeur dérivée de √π est très proche de celle qu’on peut tirer de la moyenne de la durée de l’année solaire et de celle des phases lunaires, étant donné que

 

(365,25 + 354,36) : 2 = 359,805 inv. Ln(inv. Ln. √π) = 359,7024

 

Mais à part ceux qu’on a analysé ici – comme dans The Snefru Code partie 3 et partie 7 – la trigonométrie que nous croyons d’origine babylonienne  – et que par contre avec chaque évidence a des origines bien plus anciennes – a aussi d’autres aspects qui semblent vraiment inquiétants, pour ne pas dire incroyables. En eux subsiste la trace d’une sagesse qui paraît surhumaine.

Par exemple, les angles qui ont une tangente correspondante à un nombre entier semblent posséder des propriétés générales, qui, unies à des caractéristiques uniques et particulières, font qu’elles viennent à construire un système structuré de telle manière de fermer dans le même cercle théorétique la géométrie, la physique et la numérologie.

Pour commencer, tous les angles qui ont comme tangente un nombre entier ont un cosinus égal à 1 sur la racine du nombre entier qui résulte de la tangente élevée au carré plus 1. Cela veut dire, par exemple, que l’angle avec la tangente égale à 2 (63°,4349..) a un cosinus égal à 1/5.

 

tg x = 2 ;       x = 63°,434948822922010648427806279547 ;

 

cos 63°,4349.. = 0,44721359549995793928183473374626

 

(1/0,44721359549995793928183473374626) = 2,2360679774997896964091736687313 = 5

 

tg x = 3 ;    x = 71°,565051177077989351572193720453 ;

 

cos 71°,5650511.. = 0,31622776601683793319988935444327 ;

 

1/0,31622776601683793319988935444327= 3,1622776601683793319988935444327 = 10

 

Une autre chose qui semble caractériser tous les angles qui ont la tangente égale à un nombre entier est qu’en faisant

 

x = (sinus + cosinus) : cosinus

 

le résultat est toujours le nombre entier successif à celui qui définit la tangente. Cela signifie naturellement qu’en faisant

 

x = (sinus – cosinus) : cosinus

 

on obtient le nombre précèdent. Par exemple, si nous faisons la somme du sinus et cosinus de l’angle qui a 9 comme tangente (83°659..) le résultat est égal à 10 fois le cosinus. Si on fait (sinus – cosinus) : cosinus de ce même angle, on obtient un résultat égal à 8 (si on fait sinus : cosinus, évidemment  nous obtenons 9, qui est la valeur de la tangente. Dans cette façon on peut obtenir par voie trigonométrique un grand nombre de fractions caractéristiques (3/4 et 4/3, 4/5 et 5/4, etc. ), naturellement en plus de la succession des nombres entiers.

 

 

  1. Mais ces angles ont aussi des caractéristiques très spécifiques, qui résultent d’un grand intérêt scientifique. On sait tout de l’angle qui a la tangente égale à 1 (45°). Mais, si on prend la somme du sinus et cosinus de l’angle qui a la tangente égale à 2 (63°,4349..) on trouve qu’elle est égale à

 

0,44721359.. + 0,89442719.. = 1,34164078..

 

Ce chiffre est un peu étrange, parce qu’élevé au carré il fait exactement 1,8 (c’est-à-dire 2 – 2/10 = 1,8). Si élevé au cube il nous donne 2,414953.. Si on prend ce chiffre, très proche de 1 + √2, on lui soustrait 1 et après on l’élève de nouveau au carré on arrive très près de la valeur de laquelle nous sommes partis, c’est-à-dire la tangente égale à 2, étant donné que

 

(2,414953.. – 1)2 = 2,002..

 

Mais nous pouvons faire une petite variante de cette opération. Si nous prenons la somme du sinus et cosinus de 63°,4394 et au lieu de l’élever au cube on l’élève à c = 2,9979246, après nous répétons l’opération (c’est-à-dire nous soustrayons 1 et on élève le résultat au carré) nous obtenons un résultat à couper le souffle, étant donné que

 

(1,34164..2,9979246 – 1)2 = 1,9979281.. c 1 = 1,9979246

 

Si maintenant nous ajoutons à ce résultat le logarithme de π, voilà que nous obtenons une bonne approximation de πKhéops

 

(1,34164..2,9979246 – 1)2 + Ln π = 1,9979281.. + 1,1447298.. = 3,142657.. πKhéops = 3,142857..

 

Cette relation semble avoir vraiment quelque chose de bizarre, de magique on dirait. Et cette sensation ne peut que grandir quand nous observons qu’aussi d’autres angles qui ont pour tangente des nombre entiers semblent avoir des caractéristiques plutôt particulières.

Par exemple, de l’angle qui a la tangente égale à 4 (75°,9637…) on peut tirer le rapport entre le nombre des jours de l’année solaire et de celui des phases lunaires (365,25 : 354,36 = 1,03076) simplement en faisant l’inverse de son sinus, étant donné que

 

1/sen 75°,9637… = 1/0,970142500145331894075625.. = 1,03077640640441513745535246..

 

Et dans The Snefru Code partie 3 et partie 7 nous avons remarqué que ce rapport caractérise tant le rapport 2ɸ/π, tout comme le rapport entre masse et rayon classique du proton, étant donné que

 

2ɸ/π = 1,03007.. 365,25 : 354,36 = 1,03076..

 

3mp/rp = 31,089576.. = 1,029009.. 365,25 : 354,36 = 1,03076..

 

Un autre angle intéressant est celui qui a 3 pour tangente (71°,565..) étant donné que son cosinus est égal à 10/10. Ou bien, celui qui a le 7 comme tangente (81°,869..) a le cosinus qui est égal à 2/10. Le sinus est presque autant intéressant, vu qu’il correspond à

 

sin 0,9899494936.. 1/10 · π2 = 0,9869604401..

 

En résolvant l’équation, l’approximation de π que nous obtenons semble très bonne étant donné que

 

(0,989949493.. ·10) = 9,89949493.. = 3,1463.. π = 3,1415..

 

Il est possible que cet angle, par moyen du nombre caractéristique de sa tangente, ait des liens avec celui qui a 6 comme tangente (80°,537..) et, par moyen de cela, aussi avec ɸ. Voyons pourquoi.

Si on fait la somme de sinus, cosinus et tangente de 80°,537.. nous obtenons un résultat égal à 7,1507.. (donc très proche de 7+1/7 ). Ce chiffre, divisé par 72 , nous mène sans aucun doute à ɸ, étant donné que

 

7,1507929.. : 72 =  0,14593.. 1/ɸ4 = 0,145898 (+ 0,000032) (7 + 1/7) : 72 = 0,14577..

 

40,145934549.. = 0,618072655.. 1/ɸ = 0,618033988.. (0,0000386..

 

Donc, il semble vraiment qu’il y ait un lien numérologique entre l’angle qui a 6 comme tangente, et le nombre entier 7. Un lien qui passe par ɸ et donc aussi par l’angle qui a 7 comme tangente. Un fait comme celui-ci peut être très important pour comprendre comment ça se fait, par exemple, que dans l’histoire biblique il est dit que Dieu crée le monde en 6 jours et au septième il se repose. Cela semble être une allusion au fait que dans l’Ancien Testament, dans des textes que nous jugeons incompréhensibles parce que primitifs, puissent y être cryptées une mathématique et une physique très avancées. Une chose dont nous avons trouvé d’autres claires indications, et que nous exposerons aussi dans la dernière partie de cet article, après avoir déjà vu dans The Snefru Code partie 3 et partie 7 le profond lien entre les mesures de l’Arche de l’Alliance et des concepts scientifiques très raffinés. Mais aussi ces caractéristiques trigonométrico-numérologiques des nombres entiers, qui très souvent apparaissent dans  l’Ancien  Testament comme dans beaucoup d’autres textes sacrés de l’humanité, semblent donner des indications très claires.

Par exemple, aussi l’angle qui a 9 comme tangente (83°,6598..) a des caractéristiques qui paraissent scientifiquement signifiantes, parce que si on fait la somme du sinus et du cosinus on voit que ce chiffre est très proche de h/6

 

sin + cos 83°,6598.. = 0,993883.. + 0,110431.. = 1,104315.. h/6 = 6,626/6 = 1,104333..

 

 

  1. Vraiment, avec toute la bonne volonté, c’est difficile de supposer que des choses de ce genre peuvent être le fruit du hasard.

Au contraire, ces évidences nous obligent à supposer que celui qui a constitué la trigonométrie à base sexagésimale, l’ait fait de manière telle à pouvoir créer ce rapport harmonique – qui semble vraiment miraculeux – entre la constante de Planck mesurée par ce même Planck, celle utilisée aujourd’hui, et après aussi avec la vitesse de la lumière mesurée également avec le système métrique décimal. Donc, les gens qui ont inventé la trigonométrie à base sexagésimale connaissaient aussi les joules et les erg comme unités de mesure, mais aussi la constante de Planck ainsi que toute notre science empirique plus avancée.

Cela semble à son tour une preuve inattaquable et définitive que toutes ces traditions hermétiques – jusqu’à maintenant jugées de la même manière que les inventions romanesques – qui parlent d’une science de l’Ancienne Égypte filtrée dans la culture occidentale et fixée dans les constructions architectoniques, sont dans le vrai.

Un premier indice très important que l’on avait déjà vu est que l’inclinaison de l’alignement de Saint Michel semble coïncider avec celle du toit de la Chambre de la Reine, comme on peut voir encore une fois dans les photos ci-dessous.

Très significativement nous retrouvons ce même angle typique en deux des plus fameuses peintures qui ont été réalisées dans une époque relativement récente, qui ont comme sujet la Lance de Longin qui, avec chaque probabilité, dans le mythe aussi avait une signification astronomique. Elle représentait probablement l’axe terrestre qui « blesse » l’étoile polaire à laquelle elle vise (voir De Santillana et von Dechend, Le Moulin d’Hamlet)

  1. Les alignements – comme aussi les peintures – semblent constituer un indice important de l’effective présence d’une tradition hermétique de l’Ancienne Égypte dans la peinture, dans l’architecture et donc aussi dans la géométrie sacrée occidentale. Une tradition qui serait arrivée jusqu’à nos jours par la maçonnerie (dont les symboles sont la règle et le compas, qui à leur tour sont les symboles de la géométrie euclidéo-pythagorique). Mais ça ne suffit pas.

En effet, ces alignements qu’on a vu constituent aussi un indice de connaissances techniques très avancées, qui concernent la cartographie. Effectuer un alignement comme celui qui part du Sud de l’Angleterre jusqu’à la Palestine – parcourant des milliers de kilomètres avec certains « sauts » de centaines des kilomètres –  présuppose de la part des architectes la possession de cartes géographiques très détaillées et précises, dont l’ historiographie officielle exclut absolument la présence durant le Moyen Âge jusqu’à temps relativement récents.

D’autre côté, l’objective présence de ces alignements conteste les affirmations de l’historiographie officielle. Par contre, ils semblent prouver – d’une façon apparemment irréfutable ou quand même difficilement contestable – que l’original partant duquel l’amiral arabe Piri Reis traçait sa célèbre carte – pas moins que toutes les autres cartes qui reportent des connaissances « anachroniques » – parce qu’en avance sur les temps de beaucoup de siècles – datent de plusieurs milliers d’années av. J.-C., c’est-à-dire au temps dans lequel l’Antarctique n’était pas encore recouvert par la glace.

 

 

  1. L’effective présence hermétique de la sagesse de l’Ancienne Égypte dans notre culture, nous pousse à supposer que l’introduction du mètre durant la Révolution Française ne fut pas par hasard. Les gens qui ont profité de cette occasion pour changer la métrologie officielle et pour introduire le nouveau système, sont probablement les héritiers de ces architectes ( ou « maçons » ) qui – convaincus de suivre les méthodes mathématiques avec lesquelles Dieu ( ou le Démiurge ) a créé le monde – ont construit le système des alignements que nous voyons dans les images ci-dessus. L’angle qu’ils utilisent semble nous renvoyer non seulement à l’Ancienne Égypte, mais aussi à un cycle cosmique et donc à une unité de temps fondamentale ( le cycle de précession ) et surtout à une constante géométrico-scientifique encore plus fondamentale, le nombre d’or.

Si cela est vrai, alors nous devons conclure que ce que nous appelons « Ancienne Égypte » jusqu’au  Moyen Âge, a eu lieu une transmission ésotérique de notions mathématiques et géométriques considérées comme sacrées, qui n’étaient pas patrimoine commun de la caste intellectuelle du temps.

On dit que les architectes anonymes qui orientèrent ces constructions sacrées, étaient des moines. Mais sûrement l’Église dans son ensemble n’était pas consciente d’avoir à son intérieur une courant hermétique, qui en secret se transmettait notions qui provenaient de l’Ancienne Égypte ( peut-être passant pour l’héritage de l’Ancien Testament ). Il ne faut pas exclure qu’une partie de cet héritage puisse être venue directement par ces juifs, qui déjà au temps de la prédication de Paul s’étaient répandus dans l’Empire Romain. Peut-être que certains d’eux aient transmis à la naissante Chrétienté des notions de géométrie que le peuple d’Israël avait apprises au temps où il habitait en Égypte. Un autre indice historique connu de ces traditions hermétiques est le fait qu’au temps des Croisades soit né un ordre religieux combattant – les Templiers – qui avec le prétexte de défendre les pèlerins qui allaient en Terre Sainte, est allé à Jérusalem. Mais, il paraît que, au moins au début, les fondateurs de l’ordre ne se sont pas inquiétés d’accomplir leur mission. Au contraire, il semble certain que les premiers neuf Templiers arrivés en Terre Sainte s’installèrent pendant des années dans un palais, près d’une colline où se trouvait le Temple de Salomon,  sans sortir presque jamais.

En n’ayant pas d’autres réponses, beaucoup supposent que cette sorte de réclusion volontaire fut l’occasion pour faire des fouilles à la recherche de l’Arche de l’Alliance, perdue au temps de la déportation en Babylone. Cela serait une autre preuve qui témoigne que déjà au temps des Croisades en Occident circulaient des voix sur ce savoir-pouvoir occulte, fondé sur la géométrie sacrée, dont le secret était enfermé dans l’Arche ( au temps ne s’était pas compris que l’Arche – en tant qu’objet – ne signifiait probablement rien, et que son secret était enfermé dans ses mesures, comme l’on a bien vu dans The Snefru Code partie 3 e partie 7 )

 

 

  1. Si vraiment c’est la maçonnerie française – héritière des Templier – qui a profité de la Révolution pour introduire comme unité de mesure officielle le mètre, alors il faut penser que l’expédition de Napoléon en Égypte avait probablement un but semblable à celui des Templiers qui sont allé en Palestine. Avec le prétexte de la guerre aux Anglais – et peut-être sur conseil de la même maçonnerie qui avait imposé le système métrique décimal – Napoléon voulait s’emparer des secrets de la sagesse hermétique de l’Ancienne Égypte.

Normalement, dans les livres d’histoire nous lisons que la raison pour laquelle Napoléon alla en Égypte fut la guerre contre les Anglais, et que les savants qui l’accompagnaient pour étudier la Pyramide et la culture de l’Ancienne Égypte, n’étaient qu’une sorte de décoration culturelle – peut-être élégante, mais tout à fait superflue – d’une entreprise qui avait tout autre but. Mais à la lumière de ce qu’on a vu jusqu’à maintenant, il est tout à fait plausible supposer que le contraire est vrai : que l’entreprise militaire fut l’outil nécessaire pour l’expédition culturel, mais qui se révéla une faillite. Les savants français n’étaient pas capables de se rendre compte des doctrines scientifiques cryptées dans l’art sacré de l’Ancienne Égypte. Effectivement, il n’est pas clair si même avec les modernes moyens nous réussirons à relever jusqu’au fond le secret de cette extraordinaire sagesse, à laquelle Saint Stéphane, le premier martyr chrétien, attribue les pouvoirs de Moïse dans son discours devant au Sanhédrin.

En réalité, l’unique résultat digne de note de l’expédition de Napoléon, fut la renaissance pour l’intérêt de l’Égyptologie, et peu plus.

On dit qu’il a été grâce à Napoléon si Champollion a trouvé la manière de déchiffrer les hiéroglyphes des  Anciens Égyptiens : dit comme ça, ce semble une falsification presque totale des faits. Champollion, à bien voir, n’a pas décodé l’écriture hiéroglyphique. Il a seulement trouvé la manière d’accéder à un premier niveau de sens, qui évidemment est celui le plus banal ( admis qu’à la fin il ne se révèle pas comme un égarement).

Vraiment peut-on croire qu’un travail symbolique autant compliqué peut servir seulement pour fixer dans un signe le son d’une consonne ?

 

 

  1. Pour faire un exemple, le dieu Ptah est représenté dans les hiéroglyphes comme un être humain divinisé, en acte de séparer le Ciel de la Terre : c’était exactement la fonction que le mythe de l’Ancienne Égypte lui attribuait. Mais, avec toute possibilité cette divinité de l’Ancienne Égypte et son hiéroglyphe représentent aussi quelque chose comme une force physique divinisée. Peut-être qu’elle représente l’espace, que, comme on a vu en The Snefru Code partie 3 et partie 7, peut être imaginé comme une force qui s’oppose à la force de gravité.

Mais à des notions de ce type on ne peut pas arriver seulement étudiant le hiéroglyphe comme méthode pour fixer des sons dans une forme écrite. Ici il serait nécessaire un travail de déchiffrement  plus complexe, dans lequel l’analyse géométrique-mathématique du même hiéroglyphe devrait être une partie fondamentale. Cela est suggéré par le fait que le langage sacré-architectonique de l’Ancienne Égypte nous montre qu’en ces temps on avait des connaissances scientifiques et mathématiques qui semblent, dans une certaine mesure, beaucoup plus avancées que les nôtres.

Pour faire un exemple, nous rappelons que la charge magnétique d’un électron exprime une force égale à 4,17 · 10-42 au regard de celle de son champ gravitationnel, et que sa masse est égale à environ 1/1835,791 vis-à-vis de celle du proton ( nous rappelons que la constante pour calculer la masse du proton nous pouvons la calculer avec une excellente approximation de ħ + 1/ɸ = 1,6726, de telle façon que mp – ħ 1/ɸ). Faisant x = 1835,791 /4,17 nous obtenons 440,237.. qui correspond numérologiquement d’une manière presque parfaite à la longueur du côté de la Grande Pyramide exprimée en coudées. Il semble plutôt digne de note aussi le fait que nous pouvons obtenir par voie cosmologique, une bonne approximation de la valeur de cette constante faisant la racine cubique de la durée en années solaires du Jour de précession, étant donné que 372,2222 = 4,16444.

Si par contre nous divisons 1835,791.. par un de deux nombres typiques du cycle de Sirius et on élève au carré son résultat, puis on le multiplie par 2 nous verrons que

 

(1835,791 : 1460)2 · 2 = 1,25653…2 · 2 = 3,162064736.. 10 = 3,162277

 

Étant proche de la racine de 10, le résultat est donc très semblable aussi au produit de ħ par la constante de laquelle on peut déduire la vitesse de la lumière.

La sagesse incluse dans les hiéroglyphes est donc – avec toute probabilité – énormément plus complexe et profonde de celle découverte par Champollion. Le vrai travail de déchiffrement, probablement, doit toujours commencer.

 

 

 

 

Quatrième partie : L’EXPLORATION DES PARTIES NON VISIBLES DE LA GRANDE PYRAMIDE

 

 

  1. Maintenant qu’on a vu comment celles qui ont étés considérées seulement comme des légendes correspondent par contre à la réalité historique, nous pouvons essayer de montrer que celle que jusqu’à maintenant a été considérée comme la réalité historique de l’exploration de la Grande Pyramide ne soit rien d’autre qu’une légende. Ou mieux : un bluff pour occulter la vérité.

Notre thèse est radicale. Nous soutenons que quand John Taylor, Piazzi Smyth, Davison, les frères Waynman et John Dixon sont allés à Gizeh, ils connaissaient déjà la disposition des structures pas visibles de la Grande Pyramide. En outre, ils étaient au courant de la signification astronomique de la géométrie de la structure, même si d’une manière évidemment déformée.

Piazzi Smyth, en particulier, était un supporteur de la thèse de Robert Menzies, laquelle soutient que la Grande Pyramide contenait chiffrées dans ses mesures des prophéties relatives à la deuxième venue du Christ. Aussi par cela, il paraît qu’on peut déduire que soit Piazzi Smyth soit Menzies étaient au courant de la thèse hermétique ( qui émerge du récit évangélique de la fuite en Égypte ) que Christ fut une sorte de successeur d’Osiris ( la scène de la Résurrection que nous trouvons dans l’Évangile selon Matthieu, est celle qui se trouve représentée d’une façon architectonique dans la Chambre du Roi, comme on a montré in The Snefru Code partie 7 ).

Les épisodes que nous nous apprêtons à analyser sont la clé pour comprendre comme des notions importantes, concernant les structures internes de la Grande Pyramide, étaient conservées par la Maçonnerie anglaise. En ce sens, l’histoire de la « découverte » des soi-disant « puits d’aération » de la Chambre de la Reine, est vraiment exemplaire et instructive, et il convient peut-être de l’analyser en premier lieu.

 

 

  1. Au temps où furent découverts, on croyait que ceux qu’on voyait dans la Chambre du Roi étaient des « puits d’aération ». Donc, c’était aussi ce que croient ces explorateurs anglais, qui allaient en chercher l’équivalent dans la Chambre de Reine. Et ici surgit le problème d’expliquer comment ça ce fait que à quelqu’un puisse être venu dans la tête une idée aussi absurde. L’unique doute qu’on peut avoir c’est celui-ci : est-ce que sont plus bizarres les personnes qui construisent des puits d’aération scellés, et donc dans l’impossibilité d’accomplir leur fonction, ou les personnes qui se mettent à les chercher ?

Il faut tenir en compte que les murs de la Chambre de la Reine ne présentaient pas, au temps de l’exploration, aucun genre de fissure. Ceci est reconnu sans aucun doute aussi par deux égyptologues orthodoxes, comme Ian Lawton et Chris Ogilvie-Herald :

 

 

(…) La théorie des puits comme moyens de ventilation, tombe quand on la veut appliquer aux puits découverts dans la Chambre de la Reine. À l’origine ces deux autres trous étaient bouchés dans l’extrémité inférieure qui débouche dans la chambre  par des blocs fixes de roche épais une quinzaine de centimètres. 

 

Les pierres, là-bas comme en chaque autre partie interne de la Grande Pyramide, étaient encastrées l’une avec l’autre, de manière à rendre impossible d’y insérer même une épingle. Donc : comment ça ce fait que Waynman Dixon – un ingénieur ! – ait pu avoir l’absurde idée que les puits d’aération – que par définition doivent être ouverts – puissent se trouver là mais scellés dès le début ? Pourtant ceci est la méthode avec laquelle, à ce qu’il paraît, ils justifiaient devant le monde leurs recherches.

 

En 1872 deux frères, Waynman et John Dixon, arrivaient à la Plaine de Gizeh avec l’intention d’explorer la Grande Pyramide. Le premier, ingénieur diplômé, était fasciné par les puits d’aération de la Chambre du Roi, et il était convaincu que des structures de ce type se trouvaient aussi dans la Chambre de la Reine. Un jour, pendant qu’il était dans la Chambre, un de ses compagnons, un certain docteur Grant, remarqua une petite fissure dans le mur au sud, environ dans le même point (…)où dans la Chambre du Roi se trouvait le puits. Excité, Dixon introduisit un câble rigide dans la fissure, et puisque il se rendit compte que de l’autre côté il n’y avait aucune résistance, il avait donné immédiatement ordre au factotum Bill Grundy de travailler avec massue et ciseau. Le ciseau pénétra dans le rocher et après un moment se présenta une ouverture. Tout de suite on comprit qu’il s’agissait d’un puits d’aération : encore 52 cmc de section, encore 1,80 m à l’horizontale, pour après disparaître vers le haut, dans le cœur de la Pyramide avec l’inclination de 30 degrés.

 

Ici il faut remarquer que les deux auteurs ne se sont pas rendus compte de l’évidente signification numérologique des mesures que eux-mêmes nous donnent. 52 cmc de section pour 180 de longueur, donnent un volume de 9360, qui correspond à 26 fois une année solaire « pure » de 360 jours, avec le 26 qui contient une évidente référence au cycle de précession ( 26000 ans de 360 jours chacun forment un total de 9360000 jours ).

Mais à part cela, il faut tenir compte qu’en cette époque il n’y avait aucune possibilité d’éclairer à giorno, avec des lampes électriques, les pièces. Localiser une petite fissure dans une pièce éclairée par la tremblante lumière de torches qui – probablement – le remplissaient rapidement de fumée, n’a pas dû être facile. Et, en effet, des notes prises par Piazzi Smyth – écrites en partant, selon qu’il dit, du récit qui lui fit Dixon – il paraît pouvoir comprendre qu’un des motifs pour lesquels cette fissure fut localisée, a été justement qu’elle a été cherchée dans le bon endroit. C’est –à-dire plus ou moins sur la perpendiculaire des « puits d’aération » de la Chambre du Roi.

Cela est un autre aspect énigmatique de la question historique. Pourquoi les puits d’aération n’auraient pas pu se trouver, par exemple, dans une arête plus en haut ? Pourquoi construire un puits d’aération architectoniquement symétrique et par surcroît scellé dès le début ?

À bien voir, les puits d’aération scellés, sont tant logiques que des seaux défoncés. Pourtant Waynman Dixon était tant sur de les trouver, que non seulement il allait les chercher, mais aussi il conduisait avec lui un ouvrier muni de massue et ciseau pour les ouvrir : d’où lui venait la sûreté qu’il aurait eu besoin d’aide ?

Aucune personne raisonnable ne peut avoir des doutes : si un ingénieur s’est déplacé de la manière avec laquelle s’est déplacé Dixon, cela signifie qu’il savait que les canaux étaient là. Puis, le fait que – après les avoir « découverts » – il se soit même mis à contrôler s’ils contenaient quelque chose, démontre aussi qu’il savait qu’il y avait quelque chose à chercher. Si vraiment il croyait qu’ils étaient des « puits d’aération » – une histoire que seulement une personne ahurie et/ou ignorante de technologie édile  pourrait croire – pourquoi avait-il pensé que ses constructeurs, après les avoir scellés, les auraient même remplis d’objets totalement étranges à leur fonction ?

Et par contre, contrairement à chaque logique, non seulement Dixon s’est mis à explorer les « puits d’aération » avec une ingénieuse hampe dénouée, mais il y trouvait même quelque chose : une sphère en pierre, une sorte de double crochet en cuivre et un morceau de bois, mais qui a mystérieusement disparu. Dommage, parce que des trois pièces, il était l’unique qui pouvait être daté par le Carbone 14.

Nous nous demandons s’il n’est pas justement celui-ci le motif pour lequel il a disparu : parce qu’un des derniers secrets que la Maçonnerie anglaise conserve encore pour elle seule, c’est-à-dire le véritable âge des Pyramides, reste encore un secret.

 

 

  1. Mais, à part cette histoire qu’on vient de raconter, toute l’histoire des « découvertes » des structures non visibles de la Grande Pyramide est pleine d’étrangetés. Ou, encore mieux, de détails tellement incroyables que nous nous demandons comment ça ce fait que jusqu’à maintenant ils ont été pris comme bons sans autres réflexions.

Comme source de notre enquête nous avons utilisé « Le Code de Gizeh », écrit par Ian Lawton et Chris Ogilvie-Herald. C’est une source qui devrait être particulièrement fiable pour les égyptologues orthodoxes, parce que les deux auteurs ont écrit le livre justement pour défendre les thèses dites « orthodoxes ». Et entre les thèses « orthodoxes » que l’on veut défendre il y a aussi celle qui veut exclure à tout prix que la Maçonnerie européenne – et en particulier celle anglaise – fut dépositaire d’une tradition hermétique qui provenait de l’Ancienne Égypte.

Quant à la découverte de la première des Chambres Supérieures de la Chambre du Roi par Nathaniel Davison, les deux auteurs écrivent :

 

« En 1765 Nathaniel Davison – qui serait après devenu consul britannique général en Algérie – tandis qu’il se trouvait en vacance en Égypte, il décidait de visiter la Grande Pyramide. Contrairement aux  chercheurs qui l’avaient précédé, il n’a pas laissé des précises annotations, mais quand même il fut le protagoniste de certaines importantes découvertes. Dépassé l’obstacle des chauve-souris, Davison, aidé par ses assistants, décidait de poursuivre la galerie qui avait conduit Greaves à la petite grotte. Mais après un parcours d’environ 30 m il devait s’arrêter, impossibilité à procéder à cause de l’obstruction de la galerie. »

 

Cette « petite grotte » à laquelle les auteurs se réfèrent est celle sorte de niche qui se trouve dans la galerie qui collègue le canal ascendant avec le canal descendant, à la hauteur de la petite colline de roche englobée dans la structure. Celle qui au-dessous nous indiquons avec la flèche

 

Fâché, il décidait alors de découvrir d’autres structures pas encore explorées. Selon le récit de Tompkins, il serait arrivé que, tandis qu’il se trouvait à l’intérieur de la Grande Pyramide, Davison se serait rendu compte que l’écho de sa voix provenait de haut . Utilisant des batteries de bougies liées à des hauts poteaux, il lui fut possible entrevoir sur le mur oriental une petite ouverture large pas plus de 60 cm, juste sous les blocs qui constituaient le plafond. Grâce à une série d’escaliers à encastrement, Davison fut capable de grimper jusqu’au sommet, au-dessus de l’abîme de la Grande Galerie.

 

Ce que Davison avait localisé était le canal de liaison originaire entre la Grande Galerie et la première des Chambres Supérieures ( pour arriver aux autres Vyse a dû utiliser la dynamite ) que dans la photo au-dessous est indiqué par la flèche rouge

Que ce récit ne puisse pas être qu’une falsification de la réalité, se comprend déjà par le fait que Davison, déçu d’avoir trouvé le puits de liaison obstrué, décida «  de découvrir d’autres structures pas encore explorées ». Comment savait-il qu’il y avait d’autres structures inexplorées ? À la limite, Davison pouvait avoir décidé d’explorer soigneusement le monument souhaitant de découvrir structures inexplorées. Comment pouvait-il être certain, depuis le début, que ces structures existaient ?

 

 

  1. Ici on peut imaginer qu’en rapportant l’écrit de Tompkins, les deux auteurs aient commis quelque énormité, ou que la traduction de l’anglais à l’italien ne soit pas des meilleures, ou peut-être que Tompkins se soit mal exprimé. Mais la suite du récit de cette « découverte » laisse peu de doutes : avec chaque évidence, Davison savait très bien quoi chercher et où le faire. On dit en effet qu’il dirigea son attention sur la partie terminale qui se trouvait en haut de la Grande Galerie ( dont la longueur est de 40m et qui est haute plus de 8m! ), parce que «il se serait rendu compte de l’écho de sa voix qui provenait d’en haut » (!?).

 

Ici on ne comprend vraiment pas la liaison entre la perception de l’écho et ce qu’il en suit, étant donné que dans un lieu comme cela, l’écho pouvait venir et se réfracter partout, aussi du Couloir Descendant.

Quoi qu’il en soit, admis aussi qu’il était possible de se rendre compte que l’écho provenait effectivement d’en haut, il  n’est pas clair comment Davison ait pu lier un phénomène aussi vague avec une galerie de 60 cm de largesse qui se trouvait dans l’endroit plus improbable du monde. Par surcroît, cette galerie, comme on expliquera successivement, était obstruée par la moitié de sa hauteur ( et donc aussi par la moitié de sa superficie ) du guano de chauve-souris, qui en soi tend à absorber  l’écho.

 

«  Ici, presque pendant, il se rendit compte que l’entrée inconnue était obstruée pour au moins la moitié de sa hauteur par le guano des chauve-souris. Indifférent, il décida de forcer le passage et de s’enfiler dans la galerie, le long de laquelle il eut le courage d’avancer pour plus de 7m, muni seulement d’un papier pressé contre le nez à fin de supporter l’ irrésistible puanteur. Le prix de son audace fut celui d’arriver dans la paroi nord-ouest d’une chambre, trop basse pour pouvoir rester debout. »

 

Cette personne – qui, il faut le rappeler, se trouvait en Égypte « pour des vacances » – se lance dans une aventure de ce genre parce que dans une structure énorme comme la Grande Pyramide il entend un écho qui provenait d’en haut, après il découvre qu’il est dans une galerie très étroite à moitié obstruée par le guano des chauve-souris ! La chose plus étonnante de toute cette histoire ce n’est pas qu’elle a été inventée et racontée mais que beaucoup des personnes l’aient pu prendre au sérieux.

Il ne faut pas être des ingénieurs pour savoir que des galeries de dimensions tellement réduites et en plus obstruées par le guano, ne renvoient pas aucun écho. En supposant qu’un écho soit perçu, on ne comprend pas comment il puisse venir à l’esprit de le localiser dans le point le plus improbable d’un milieu énorme et sombre comme la Grande Galerie. À grand-peine on croit qu’une personne un minimum raisonnable puisse croire une chose tellement absurde, à moins qu’à promouvoir sa foi ne soient pas ces mêmes raisons avec lesquelles un célèbre ex-Président du Conseil Italien a convaincu  le parlement italien qu’il pensait vraiment qu’une petite femme maroquine était la nièce du Président égyptien Mubarak.

Ici il est tout à fait clair que Davison savait ce qu’il était en train de chercher, et qu’il n’était pas allé en Égypte pour faire ses vacances, mais pour « découvrir » ce conduit-là.

 

 

  1. Si on voit la chose de près, le récit de Lawton et Ogilvie-Herald, laisse peu de doutes quant au fait qu’il y avaient des parties de la Maçonnerie anglaise qui étaient au courant des traditions hermétiques de l’Ancienne Égypte. Ils savaient que la Grande Pyramide avait été construite d’une manière telle à conserver en un code mathématique des connaissances de différent type ( une chose de laquelle était au courant aussi la tradition copte ). Donc, probablement, ils devaient savoir aussi quelles parties de la structure résultaient cachées.

En effet, que l’accès aux Chambres Supérieures fut situé au bout de la Grande Pyramide et qu’il fut de dimensions aussi réduites, est quelque chose qui n’a aucun sens pratique. Donc on ne le pouvait déduire non plus en partant d’une présumée « fonction » . À bien voir, à quoi peut-il servir un accès de ce genre ? Pourquoi les constructeurs, en admettant que l’aient utilisé pour quelque réparation ou pour mettre la dernière main à la construction de la Chambre Supérieure, ne l’ont pas scellé comme il faut ?

Ici vraiment on ne comprend pas comment ça ce fait que Davison ait pu imaginer une chose de ce genre en partant de notions de type « technique ».

Au contraire, ces récits – avec toute évidence totalement faux – sont tellement mal construits qu’ils laissent filtrer la vérité. C’est-à-dire, que les anglais qui se sont succédés dans l’exploration de la Grande Pyramide étaient des personnes qui savaient comment et quoi chercher, même s’ils ne connaissaient pas vraiment la signification de ces notions auxquelles ils étaient parvenus. Par exemple, peut être que Davison soit resté profondément déçu par le fait que la première des Chambres Supérieures ( à laquelle après on donnera son nom ; en effet, normalement elle est appelée Chambre Davison) fut apparemment complètement vide. Peut-être ce qu’il savait était qu’elle contenait des secrets et lui, comme un vrai occidental moderne, s’attendait bien sûr de trouver des hiéroglyphes, des papyrus ou, quand même, des documents écrits. Mais, au contraire, il n’a trouvé qu’un bas toit et un sol disjoint ( mais que comme on a démontré en The Snefru Code partie 7, il contient d’importants informations physiques codées à niveau purement géométrique, comme d’ailleurs se passe avec toute le reste de la structure ).

 

  1. Des indices que la maçonnerie anglaise savait beaucoup de choses à propos des structures cachées de la Pyramide, proviennent du fait qu’à s’occuper d’elle ont été, en beaucoup de cas, des astronomes. Indépendamment de ce que ces astronomes ont découvert, ou cru d’avoir découvert, ici il faut remarquer qu’on ne comprend pas du tout le motif pour lequel exactement un astronome devait s’occuper d’une tombe, sinon comme un hobby. Et, au contraire, ces personnes y allaient espérant de découvrir des dates en connexion avec leur science. Le premier explorateur mentionné par Lawton et Ogilvie-Herald est un certain Greaves, qu’y alla en 1638 : cet homme était un astronome, précisément comme Newton, que dans cette période s’intéressa profondément aux mesures de la Grande Pyramide, souhaitant d’en tirer celles de la Terre. De ce personnage les auteurs disent

 

«  Comme tant d’autres libres penseurs avant lui, aussi Greaves pensait ce que des auteurs comme Ptolémée, Pythagore et d’ autres de l’école classique avaient à plusieurs reprises témoigné, avec un degré plus ou moins élevé d’honnêteté, c’est-à-dire que la plus grande partie de leur savoir se basait sur des connaissances plus anciennes, dérivées de l’Égypte et de la Mésopotamie »

 

Ici on ne comprend pas comment ça ce fait que ce témoignage des auteurs classiques puisse ou doive être influencé par « un degré plus ou moins élevé d’honnêteté ». Un auteur comme Pythagore – en admettant qu’il soit jamais existé – n’avait aucun intérêt à témoigner que ses connaissances provenaient de la tradition hermétique égyptienne. Dans la Grèce de ces temps il n’y avait pas la mode de la culture de l’Ancienne Égypte comme à présent. Au contraire, l’école pythagoricienne passa des ennuis très graves à cause de ses doctrines, comme des graves ennuis

il y a eu en époque chrétienne pour quiconque se faisait défenseur de théories qui provenaient des païens. Donc on ne comprend pas du tout dans quel sens était utile, à ces auteurs et à leurs disciples, de faire remonter leurs connaissances à celles de l’Ancienne Égypte. S’ils disaient ceci, nous avons tous les motifs de leur croire, et aucun motif de douter.

 

  1. Il y a une légende liée à Pythagore et à ce que de ses doctrines a passé en dehors de son école. Aujourd’hui il est toujours commune l’idée que sa doctrine fondamentale était que « tout est nombre (rationnel) ». Mais, avec toute possibilité, cette légende ne fut pas divulguée pour transmettre une vérité professée par l’école pythagoricienne. Elle, par contre, a toutes les apparences d’une distorsion que les pythagoriciens – qui avaient porté dans le monde grec classique la sagesse hermétique de l’Ancienne Égypte – avaient évidemment laissé de côté, pour cacher celle qui était leur vraie doctrine : c’est-à-dire que tout ce qui se passe dans l’univers est causé et produit par deux nombres irrationnels  π et ɸ.

La légende à laquelle nous faisons référence est celle qui raconte que le disciple de Pythagore, qui découvrit les nombres irrationnels, fut noyé pour avoir détruit de cette façon les fondements de leurs doctrines.

Mais cette légende cache probablement une vérité, dans le sens que c’est facile qu’un disciple de l’école – que comme tous les disciples  était obligé à ne pas révéler en dehors de l’école les enseignements qu’il recevait – pouvait avoir été puni pour avoir révélé la véritable doctrine qui réellement s’enseignait dans le cercle pythagorique : c’est-à-dire qu’à donner forme au cosmos étaient  π et ɸ.

La doctrine que tout est nombre rationnel était probablement une histoire, qui venait racontée pour empêcher de faire passer dehors la vraie essence de leur pensée (qui professée dans le milieu grec classique était dangereuse, comme dû s’apercevoir à ses frais un pythagoricien, quoique sui generis, un tel Socrate).

 

 

  1. En conclusion, il semble qu’on pourrait dire que tous les témoignages que nous avons recueillis indiquent que la Maçonnerie anglaise et celle française avaient hérité des traditions hermétiques, mais polluées par des distorsions de différent type. L’exemple classique est celui de Piazzi Smith, qui a été plusieurs fois raillé comme une sorte de prince des pyramidiots. À ce propos Lawton et Ogilvie-Herald écrivent, sans dissimuler leur ironie, que

 

« à l’exception de peu des récits de la tradition arabe, le seul « illustre représentant » du groupe académique, à considérer comme appartenant à un champ alternatif est Smith, avec ce que nous avons évalué comme une des théories les plus étranges : l’hypothèse de la Grande Pyramide comme échelle temporelle de la scansion des faits bibliques »

 

Pratiquement, l’idée de Smith était celle que la Pyramide contenait, en code, la date de tous ces faits qui sont racontés dans la Bible. Lawton et Ogilvie-Herald n’hésitent pas à couvrir de ridicule ce professeur d’idées aussi contre-courant, remarquant que même à ses temps, ne se trouvait personne dans la communauté scientifique capable de le prendre au sérieux.

 

« Entre ses contemporains (de Smith), qui n’acceptaient que des hypothèses traditionnels et classiques à propos de l’évolution de la connaissance, il suscitait un fort scepticisme par rapport à sa recherche ; une attitude renforcée par un fort sentiment religieux qui faisait dire à Smith que cette connaissance (c’est-à-dire la connaissance des dates des événements bibliques) avait été donné à certains anciens égyptiens par le Souverain Auteur de toute Sagesse, chose qui lui méritait une dérision encore plus grande de celle réservée à Taylor et à ses théories.

En plus, la position de Smith n’était certainement pas renforcée par son amitié avec un autre personnage capturé par le zèle religieux, un certain Robert Menzies, un des premiers partisans de la théorie que les projets et les dimensions des passages et des pièces internes de la Grande Pyramide avaient été élaborés spécialement pour cacher une espèce de « calendrier » des prophéties bibliques relatives à tous les événements plus importants de l’histoire de l’homme – y compris « la seconde venue ». Une théorie qui, entre autres, se réjouissait de beaucoup de défenseurs aussi dans le monde arabe ».

 

Ici peut-être que si Lawton et Ogilvie-Herald avaient compté jusqu’à cent avant de tourner en dérision Piazzi Smyth, ils auraient eu le temps de comprendre que la signification originale de la doctrine ésotérique qui circulait dans la Maçonnerie anglaise, avait une signification astronomique : « le projet et les dimensions des passages et des pièces internes de la Grande Pyramide avaient été spécialement élaborés pour cacher une espèce de « calendrier ». Ce fait, plus que probable, paraît très certain: seulement il ne s’agissait pas du calendrier de « prophéties bibliques » entendues comme événements historiques uniques et irrépétibles, concept inconnu tant aux Israélites comme aux anciens égyptiens. Les «  prophéties » de la Grande Pyramide et du complexe de Gizeh concernent le changement de certains configurations célestes qui pour eux – qui avaient une des nombreuses religions de l’éternel retour qui ont existé dans le passé de l’humanité – étaient énormément signifiants, plus signifiants de n’importe quel fait historique unique et irrépétible que un occidental moderne puisse imaginer.

 

 

  1. Dans The Snefru Code partie 5, nous avons vu comme l’orientement des puits stellaires ne soit pas lié à une date particulière, unique et irrépétible, mais par contre à la section d’or du parcours de montée et de descente qu’Orion et d’autres étoiles importantes pour la religion de l’Ancienne Égypte font sur l’horizon de Gizeh durant la moitié d’un cycle de précession (c’est-à-dire environ toutes les 13000 années). Peut-être – et plutôt, de notre point de vue, c’est pratiquement certain – qu’aussi le reste des structures ait été projeté de manière telle à décrire, avec un code géométrique-mathématique compréhensible seulement aux initiés, la succession de certaines configurations célestes. Mais à Chauvet et à Gobekli Tepe est aussi représentée une succession de configurations célestes, mais symbolisée d’une manière directe par cette série de panneaux, dans le premier cas naturels, et dans le deuxième artificiels (nous notons en passant que le féroce sanglier représenté dans la première photo à la gauche de la deuxième rangée nous rappelle immédiatement le sanglier que dans le mythe est représenté comme l’assassin de Tammuz, le célèbre dieu de la mort et de la résurrection babylonienne que deviendra Adon quand le mythe sera adopté par la Grèce classique).

 

Cela étant, ce n’est pas un cas que de la Grande Pyramide se soient occupés des astronomes qui appartenaient à la Maçonnerie anglaise. Ils étaient des personnes qui avaient reçu des nouvelles qui les égaraient, puisque déjà à ce temps en Occident le ciel venait vu d’une manière complètement « laïque ». Aussi l’œuvre de Shakespeare nous témoigne que autour du XVI siècle la significations sacrée des cycles célestes s’était presque perdue en notre religion et si en restait quelque chose il se traitait seulement de métaphores d’intérêt purement théâtral ou littéraire.

Par contre, pour les prêtres de l’ Ancienne Égypte, des expressions comme « monde divin » et « ciel nocturne et diurne » étaient tout à fait identiques et synonymes. Et cela a fait que les premiers explorateurs de la Grande Pyramide, en plus de rester personnellement trompés, aient aussi trompé les autres, qui ont été poussés à prendre pour blagues des choses très sérieuses, au moins du point de vue historique. En effet, si nous nous posons au point de vue des gens qui croyaient que les astres étaient divinités, il devient évident que la connaissance des rythmes cosmiques octroyait le don de la prophétie.

Un astronome était à ce temps un « prophète » dans le sens qu’il était capable de prévoir infailliblement le temps dans lequel certaines entités célestes – qui grandissaient à l’horizon – montaient sur le trône du Royaume des Ciels et les autres – qui décroissaient – le perdaient (c’est précisément la malédiction que Noé lançait à son fils qui le voyait nu : qu’il décroisse ; tandis que les fils qui entraient dans la tende marchant à reculons, il les bénit disant : qu’ils grandissent !)

Une fois que nous avons assumé ce point de vue, voilà que les idées de Piazzi Smyth et de ses inspirateurs n’apparaissent pas bizarres. Elles sont seulement la déformation en style moderne occidental d’un monde dans lequel les événements intramondains étaient considérés comme des apparences inconsistantes, le vide réflexe de cette histoire divine, cyclique, qui retourne éternellement, qui se contemplait chaque jour passer dans le ciel.

 

 

 

Cinquième partie : UN BREF EXCURSUS SUR LA NUMÉROLOGIE DE L’ANCIEN TESTAMENT

 

 

  1. Comme nous avons observé plusieurs fois dans le cours des précédentes parties de ce travail, les rapports mathématiques entre les constantes physiques fondamentales et les mesures de la Grande Pyramide – qui substantiellement se basent sur π, ɸ et le 10 – se retrouvent aussi dans les rapports que nous pouvons instituer entre les nombres qui sont insérés dans les pages de l’Ancien Testament. Les cinq premiers livres en particulier – le célèbre Pentateuque – qui furent en origine construits et transmis oralement selon un raffiné code mathématique – plusieurs spécialistes les ont considérés comme fruit de l’influence que les Israélites ont reçu par les anciens égyptiens. Maintenant nous pouvons donner à cette thèse aussi une réponse mathématique.

Quant à la signification numerologique du 40 en premier lieu, nous pouvons remarquer que sa racine 79ème est très proche de  π/c, tandis que la racine 64ème de 40/2=20 correspond exactement à 32√(2√5), que à son tour est diffèrent de π/c seulement de 1/106. Cela veut dire que

 

π/c = 1,047922 ≈ 64√20 = 1,047921.. ≈ 79√40 = 1,047802.. (79√40 x c = 3,1412 ≈ π = 3,1415)

 

Cela signifie que, premièrement, nous pouvons tirer une approximation extraordinairement bonne de c = 2,9979246 da 5 = ɸ + 1/ɸ et de π. Et effectivement

 

π : 32√(2√5) = 2,9979285.. ≈ c = 2,9979246

 

En plus, si nous faisons le rapport entre les exposants de deux racines, nous sommes de nouveau devant à un nombre très intéressant, étant donné que

 

79 : 64 = 1,23437.. ≈ 2 x 1/ɸKhéops = 1,23564..

 

Si nous prenons en considération un autre nombre qui recourt, avec particulière fréquence dans l’Ancien Testament, le 70 (et ici il nous convient aussi rappeler que dans la période dans laquelle dans l’Ancienne Égypte se considérait mort Osiris-Orion, parce que il disparaissait de l’horizon, était justement de 70 jours, comme d’autre part la première tradition de l’Ancien Testament en grec a été appelée la Bible des 70 : sa signification astronomique est confirmée par le fait qu’elle a été traduite sur la peau de 365 animaux de grosse taille) nous voyons que la racine 70ème de 40 nous donne un nombre très proche de ħ

 

70√40 = 1,054111.. ≈ ħ = 1,054571..

 

Faisant la racine 40ème de 70  nous arrivons au contraire très près de ħ2,étant donné que

 

40√70 = 1,112058.. ≈ ħ2 = 1,11212.. (- 0,000062)

 

Dans l’Ancien Testament recourt aussi très souvent le 80 ( par exemple, 80 était l’âge que avait  Moïse quand Dieu lui confiait la tâche d’amener les Israélites hors de l’Égypte : ou même de Jésus on dit qu’il jeûnait pour 40 jours et 40 nuits ). Étant donné ce que nous avons vu ci-dessus, il est clair que la racine 80ème de 70 nous doive porter très près de ħ

 

80√70 = 1,054541.. ≈ ħ = 1,054571..

 

On arrive très près de ħ aussi utilisant un chiffre qui nous mène à un nombre biblique très important, le célèbre Chiffre de la Bête, même si d’une façon très complexe que nous voyons ci-dessous

 

66√40 = 1,0574835887878297664997187440786

 

1,057483.. √1,057483.. = 1,054275.. ≈ ħ = 1,054571..

 

Ce même nombre, élevé à la septième, nous mène très près de  ɸ, étant donné que

 

(66√40)7 = 1,47882.. ≈ 3√2ɸ = 1,47912..

 

De plus, si nous multiplions par 6 la racine 66ème de 666, nous nous rendons compte que nous arrivons à une très bonne approximation de la constante de Planck actuellement utilisée

 

66√666 x 6 = 6,621.. ≈ h = 6,626

 

Il faut remarquer que le nombre sous racine on peut le reconstituer mettant le 66 à côté de l’exposant de la racine et le 6, avec lequel est multiplié le résultat de la racine.

Le Chiffre de la Bête nous mène à  ɸ aussi dans la manière suivante

 

(4√666) : π = 1,617032.. ≈ ɸ = 1,618033

 

  1. Aussi dans les chapitres dédiés à l’origine du peuple hébreu, nous trouvons des connexions mathématiques entre les nombres qui sont suggérés. Abraham avait 86 ans quand Agar accoucha d’Ismaël et en avait 99 quand Dieu lui promettait une descendance par moyen de sa femme. La racine 86ème de 99 nous mène très près de ħ

 

86√99 = 1,054884.. ≈ ħ = 1,054571..

 

Le fils d’Abraham et de Sara, Isaac, naitra quand Abraham aura 100 ans. La racine 99ème de 100 nous donne un résultat très proche de π/c

 

99√100 = 1,047615.. ≈ π/c = 1,047922..

 

Ces nombres qui regardent Abraham ont une relation avec d’autres nombres similaires que se trouvent dans le reste de la Bible. Par exemple, les 86 ans qui avait Abraham au moment de la naissance d’Ismaël, correspondent en Nb 3,24, au nombre des fils de la famille de Qehatites, qui étaient 86 x 100 = 8600, auxquels on avait confié, entre autres, la garde de l’Arche de l’Alliance.

En The Snefru Code partie 3 et partie 7 nous avons vu les nombres qui regardaient le Déluge et, justement, l’Arche de l’Alliance. Il conviendrait peut-être les exposer encore une fois, mais, pour raisons de brièveté, nous donnerons plutôt seulement un  rapide coup d’œil à ce qui pourrait être la signification numérologico-scientifique de l’âge de Noé, Mathusalem et Hénok.

Noé vit jusqu’à 950 ans, tandis que Hénok est « assumé dans le ciel » à l’âge de 365, un nombre que, presque certainement, symbolise les jours de l’année solaire de l’Ancienne Égypte. Il faut remarquer que la première copie de la « Bible des Septante » a été écrite sur 365 peaux de grande taille et que le 365 recourt en plusieurs lieux de l’Âge de la Pierre. Par exemple, Avebury, le cercle mégalithique plus grand du monde, qui a un diamètre de 356 mètres, et est séparé par celui de Stonehenge d’une distance de 36 km, un nombre qui est égal au nombre des jours « purs » de l’année solaire de l’Ancienne Égypte (360) divisé par 10. Le 36 correspond deux fois au nombre des mois de l’année solaire Maya (18 x 2 = 36), que à son tour correspond aux 36 énormes pierres de quartz qui décorent la sépulture de New Grange.

Quoi qu’il en soit, la connexion entre le prophète Hénok  et une connaissance trigonométrique fondée sur le code sexagésimal sans problème on la peut déduire du « Le livre des secrets d’Hénok », une partie de l’Ancien Testament non acceptée par l’Église, où dans le chapitre XXIII on lit

 

(L’Archange Vereveil) me disait toutes les œuvres du ciel et de la terre et de la mer et les mouvements et les vies de tous les éléments et le changement des années et les mouvements et les modifications des jours et les commandements et les instructions et la douce voix des chants et les montées des nuages et les sorties des vents et chaque langue des milices armées. Tout ce qui convient d’apprendre Vereveil me l’exposait en trente jours et en trente nuits et sa bouche ne cessait jamais de parler. Moi je ne me reposait pas trente jours et trente nuits, écrivant tous les signes ( de l’alphabet divin utilisé par Vereveil, qui est probablement celui de la trigonométrie sexagésimale) et quand je terminai, Vereveil me dit :  « Assieds-toi, écrit tout ce que je t’ai exposé ».

Je m’assis le double de trente jours et trente nuits et j’écris (tout) exactement et je composai 360 livres.

 

Il semble vraiment qu’un passage de ce genre soit plus que suffisant pour fonder l’hypothèse que, déjà dès les origines de la sagesse il y avait une parfaite connaissance de cette branche de la géométrie : les réitérées allusions au 30, au 60 et au 120 ne semblent laisser aucun doute.

Donc, nous pouvons continuer notre travail avec la certitude que le décodage de la numérologie de cette et des autres parties de l’Ancien Testament, ne soit pas fruit d’une pure spéculation.

 

3.Continuant avec l’analyse mathématique du texte biblique, comme première chose nous découvrons que le rapport entre l’âge de Noé et celui d’Hénok est égal à

 

950 : 365 =  2,602739.. ≈ ɸ2 = 2,618.. ≈ charge unitaire + 1 = 1,6022 + 1 = 2,6022

 

Au temps du Déluge Noé avait 600 ans. Comme première chose, on voit que ce chiffre mis en rapport avec le total des années vécues par Noé, nous conduit près de (√10)/2, étant donné que

 

950 : 600 = 1,58333.. ≈ (√10)/2 = 1,58113..

 

De ce nombre – et du rapport qu’on vient de voir ci-dessus – 80√70 – nous pouvons arriver d’une façon suffisamment confortable à l’approximation de la constante de Newton G comme on voit ci-dessous

 

1,58333 x 4 x 80√70 = 6,6787.. ≈ G = 6,672

 

Par contre le 600, mis en rapport avec le nombre des jours « purs » de l’année solaire de l’Ancienne Égypte, nous conduit au chiffre qui nous sert pour transformer les soixantièmes de degrés en centièmes de degrés

 

600 : 360 = 1,666.. = 5/3;

 

À part le fait que 5 et 3 sont respectivement le quatrième et cinquième nombre de la série de Fibonacci, il y a d’autres motifs qui nous font penser que cette constante peut être énormément plus importante de ce que nous pensons normalement. Sa partie décimale contient une claire allusion au Chiffre de la Bête ( le 666), et justement d’elle nous pouvons tirer une approximation pratiquement parfaite du π d’une façon relativement simple. Comme première chose, nous pouvons faire la racine cubique de la partie décimale du nombre et après faire 1/x

 

 

1 : 3√(1,666… – 1) =  1 : 3√0,666.. = 1 : 0,8735804.. = 1,144714..

 

Eh bien, avec stupeur nous remarquons que ce nombre correspond à une approximation extraordinairement bonne du logarithme naturel de π , duquel diffère seulement de 15 millionièmes. Et effectivement

 

1 : 3√(1,666… – 1) =  1,144714.. ≈ Ln π = 1,144729..

 

Cela signifie qu’élevant le nombre de Euler à la 1 : 3√(1,666… – 1) nous arrivons à une approximation de  π qui diffère du nombre exact seulement de 49 millionièmes

 

e1 : 3(1,666… 1) = e 1,144714.. = 3,141543.. ≈ π = 3,141592..

 

En plus il faut remarquer que le logarithme naturel de π se peut tirer jusqu’au cinquième décimal par voie numérologique, opérant avec des nombres que pour les anciennes religions astronomiques étaient très importants, c’est-à-dire le1, le 144 et le 72, présents en abondance aussi dans la Bible. En effet

 

1 + 144/1000 + 72/100000 = 1,14472

 

Ce nombre nous conduit à une approximation de  π qui diffère du nombre exact seulement de 31 millionièmes. En effet

 

e1,14472 = 3,141561 ≈ π = 3,141592..

 

Une bonne approximation du logarithme naturel de  π se peut tirer aussi par la racine de 10 et du nombre d’Euler, étant donné que

 

1 : 6√(√10 – e) = 1 : 6√0,44399.. = 1,1449069.. ≈ Ln π = 1,1447298

 

L’approximation de  π que nous pouvons tirer de ce nombre est

 

e1,1449069.. = 3,1421.. ≈ π = 3,1415..

 

Avec un procédé assez similaire nous pouvons utiliser 1/√5

 

11/10 + [(1/√5) : 10] = 1,1 + (0,447213.. : 10) = 1,1 + 0,0447213.. = 1,144721359.. ≈ Ln π = 1,1447298..

 

L’approximation de π  que nous pouvons tirer à partir de ce chiffre est optimale

 

e1,144721359..  = 3,141565.. ≈ π = 3,141592..

 

  1. Tout cet ensemble de relations semble confirmer le lien étroit – presque un rythme musical on voudrait dire – entre les nombres qui ont été codés par les anciens égyptiens dans leurs monuments, un lien qui sort aussi du rapport entre √10 et c = 2,9979246, qui nous donne un nombre très proche de ħ

 

√10/c = 1,054822.. ≈ ħ = 1,054571.. (+0,00025)

 

Le même rythme musical nous pouvons le retrouver dans la différence π e ɸ2, qui nous donne un nombre très proche de π/6

 

π – ɸ2 = 0,523558.. ≈ π/6 = 0,523598.. (-0,00004

 

Ou même aussi dans cette simple équation, dans laquelle à nouveau nous retrouvons π qui paraît lié au nombre d’or par un rapport inextricable, mais constamment condamné à un minimum d’imperfection

 

1/π + 1/3 = 0,31830988.. + 0,3 = 0,6183098.. ≈ ɸKhéops – 1 = 0,61859034..

 

Puisque nous sommes entrés dans le thème des logarithmes, avant d’en sortir il nous convient d’observer qu’aussi le logarithme de  2ɸ est assez intéressant, étant donné qu’il correspond dans une manière pratiquement exacte à la racine c = 2,9979246 di ɸKhéops, avec une différence de 1/100000. En effet

 

Ln 2ɸ = 1,174359005.. ≈ 2,9979246√ɸKhéops = 1,174250016..

 

Si après nous élevons le nombre d’Euler au nombre qui sort du rapport entre le sixième et le septième nombre de la série de Fibonacci 13/8 = 1,625 ( un nombre qui se tire – comme on a vu dans The Snefru Code partie 7 – aussi du nombre d’or de l’année solaire de l’Ancienne Égypte ) nous trouvons de nouveau une chose très intéressante. Nous sommes en train de parler de la constante qui nous sert pour calculer la longueur de Planck ℓp = √(ħG/c3) = 1,616 252, c’est-à-dire la distance à partir de laquelle il n’y a plus de sens parler d’espace physique. En effet

 

e1,625 : π = 5,078419.. : 3,1415.. = 1,616510.. ≈ ℓp = √(ħG/c3) = 1,616 252

 

Élevant le nombre d’Euler à  ℓp = √(ħG/c3) = 1,616 252 et divisant le résultat par π  nous arrivons à un résultat très proche de la charge unitaire, étant donné que

 

e1,616 252 : π = 5,03418.. : π = 1,60243.. ≈ charge unitaire = 1,6022

 

Les rapports que nous sommes en train de découvrir semblent très intéressants. Ils méritent peut-être un travail plus approfondi, mais, vu qu’ils ne regardent pas directement l’argument que nous sommes en train de traiter, nous renvoyons ce travail à une étude à venir. Nous exposons seulement une chose que, étant donné tout ce que nous avons découvert jusqu’à présent, résultera peut-être plus qu’une curiosité. Élevant le nombre d’Euler à h – 5 et continuant après comme nous avons fait jusqu’à maintenant nous obtenons une très bonne approximation du nombre d’or, étant donné que

 

e1,626 : π = 1,61822..

 

De cette manière on confirme le fait que la constante de Planck actuellement en usage, donne lieu à un nombre avec des caractéristiques très particulières, qui mérite sans doute d’autres  investigations, que nous allons faire dans une étude future..

 

  1. Revenant à l’analyse des nombres qui regardent Noé, nous remarquons que le 600 – c’est-à-dire l’âge de Noé au moment du Déluge – inséré dans cette simple équation, nous donne une approximation vraiment bonne de ħ

 

√[(8√600) : 2] = √1,112343.. = 1,054676.. ≈ ħ = 1,054571..

 

 

Le 600 ans précédents le Déluge sont divisés en deux phases distinctes de 300 ans chacune. Si on met en rapport ces 300 ans avec les 365 ans d’Hénok par cette simple fonction nous arrivons à ɸ.

 

{[(365 : 300) x 5] – 1} : π = 1,618075.. ≈ ɸ = 1,618033..

 

Ici probablement le fait d’avoir inséré le 5 dans l’équation peut paraître un forcement à tous ceux qui ne connaissent pas combien ce nombre fut important pour la numérologie de l’Ancien Testament. Il faut tenir compte que le 5 était un des nombres considérés comme les plus sacrés par les Israélites, une chose qui résulte presque évidente, si nous considérons son intime connexion avec ɸ, que nous avons plusieurs fois vu, et avec le triangle rectangle – à son tour considéré comme sacré – de côté 3,4,5 d’aire 6 et de périmètre 12 qui a des caractéristiques numérologiques extraordinaires. En effet, le côté mineur de ce triangle élevé au carré nous donne la somme des deux autres, le moyen est la moitié de la somme des deux autres, la valeur du périmètre correspond aux signes du zodiaque et aux mois de l’année solaire de l’Ancienne Égypte et à deux fois l’aire, l’aire multipliée par le côté mineur nous donne la somme d’aire et périmètre, multipliée par le côté moyen le double du périmètre, multipliée par le côté majeur la somme numérologique  3 + 4 + 5 + 6 + 12 = 30 et de cette façon aussi le nombre des jours du mois de l’Ancienne Égypte, etc.

Comme dernière donnée nous observons que mettant en relation la durée exacte de l’année solaire avec le nombre des jours « purs » de l’année solaire de l’Ancienne Égypte, nous arrivons encore  à π, même si d’une façon un peu plus compliquée.

 

(365,25 : 360) x c = 3,1417.. ≈ π = 3,1415

 

Mathusalem meurt à l’âge de 969 ans, un nombre qui nous conduit d’une manière presque immédiate à π

 

6√969 =  3,1457.. ≈ π = 3,1415..

 

Gabriele Venturi

 

ANNEXE PHOTOGRAFIQUE: PARTIE “A”

ANNEXE PHOTOGRAFIQUE: PARTIE “B”

ANNEXE PHOTOGRAFIQUE: PARTIE “C”