LETTRE OUVERTE À LA COMMUNAUTÉ
DES PHYSICIENS ET DES MATHÉMATICIENS DE LANGUE FRANÇAISE
SUR UNE POSSIBLE SIGNIFICATION SCIENTIFIQUE ET MATHÉMATIQUE
DES MESURES DE LA GRANDE PYRAMIDE
Mesdames et Messieurs les Professeurs,
mon nom est Gabriele Venturi, je suis un archéologue avec une profonde passion pour les sciences empiriques et les mathématiques cultivées dès ma jeunesse. Je peux résumer la raison pour laquelle je vous écris dans le fait qu’au cours de l’étude d’objets très anciens, caractérisés par des formes géométriques et des proportions très particulières – les pyramides de Gizeh – j’ai rencontré des relations entre trigonométrie et sciences empiriques, qui, je crois, n’ont jamais été soupçonnées.
Permettez-moi de vous donner un exemple, qui m’a paru le plus important. Si nous prenons l’angle de π/2 et faisons la somme de sinus, cosinus et tangente, nous obtenons une bonne approximation du nombre caractéristique de la constante de Dirac ħ = 1,054571628 ..
De cette approximation de la constante de Dirac , qui ne comprend pas la puissance de 10, on peut dériver par voie trigonométrique la valeur de la constante de Planck h, y compris la puissance de 10, de la manière que l’on peut voir ci-dessous. La première étape est d’obtenir la tangente d’un angle, dont nous allons prouver le lien trigonométrique avec ħ. Puisque cela implique une séquence de trois inverses du logarithme naturel, pour éviter de prendre trop de place je vais écrire “3inv. Ln”
tg x = 3inv. Ln -1/(sen π/2 + cos π/2 + tg π/2) = 4,3627976673290928099608914396309
À ce point, nous pouvons obtenir une raisonnable approximation de la constante de Planck, y compris la puissance de 10, qui résulte de l’inverse du sinus hyperbolique de l’angle dont nous venons de calculer la tangente
Si l’on ajoute à cela que la limite de la fonction 360°/(x /sin x) quand x tend vers 0, est égale à 2π , alors nous pouvons obtenir des paramètres fondamentaux de la mécanique quantique sans jamais mettre le pied hors de la trigonométrie. De plus, la signification de la relation entre l’angle de 360° et 2π semble au même temps amplifiée et renforcée par le fait que h/ħ = 2π
En outre, de la tangente de 77°, 090.. – que nous avons obtenue à partir de (sen π/2 + cos π/2 + tg π/2) – l’on peut à son tour obtenir une bonne approximation de π , à partir de sa racine 25 = 32ème
(32√tg 77°,090..) ∙ 3 = (32√4,362797..) ∙ 3 = 1,047110.. ∙ 3 =
= 3,141332.. ≈ π = 3,141592.. (-2,601.. ∙ 10-4
Je me rends compte qu’à première vue des rapports de ce genre peuvent sembler fruit du hasard : la valeur des constantes de la physique dépend du choix, que nous avons des raisons pour croire complètement arbitraire et aléatoire, de certaines unités de mesure qui ne semblent pas avoir en elles aucun caractère de nécessité scientifique, et certainement pas de nécessité logique. Mais une conviction de ce genre peut aussi devenir problématique, quand nous constatons que des rapports tels que celui que nous venons de calculer se reproduisent et se ramifient indéfiniment dans l’ensemble du système de la trigonométrie.
Pour vous donner une démonstration, au moins partielle, que dans la trigonométrie les constantes de la science ont tendance à former ce qui peut-être nous pouvons définir un système harmonique, je voudrais demander votre attention pour quelques minutes, pour analyser encore quelques exemples, tout aussi simples et synthétiques de ce que nous avons déjà analysé, où dans les relations entre les constantes de la physique est systématiquement impliquée une constante géométrique aussi importante que π, si étroitement liée à la trigonométrie qui se base sur l’angle plein de 360°.
On peut commencer par la relation entre les nombres caractéristiques des constantes qui décrivent la masse et le rayon classique de l’électron (me/re = 9,1091/2,81777) et de celle entre le nombres caractéristiques de la masse et du rayon du proton (mp /rp = 1,6725/1,535). Si nous allons vérifier, nous voyons que leur proportion semble également constituée sur la base de π (et donc également de la limite de 360°/(x/sin x) avec x tendant vers 0) .Les valeurs de me/re et de mp/rp prises individuellement sont celles que nous pouvons voir ci-dessous. Ce sont des valeurs qui, comme nous pouvons le voir, ont une relation très étroite avec le nombre caractéristique de la longueur de Planck ℓP = 1,616252 ..
me/re = 9,1091 : 2,81777 = 3,232733… ≈ 2ℓP = 3,232504… (+0,000229..
mp/rp = 1,6725 : 1,535 = 1,089576.. ≈ (2ℓP/π)3 = 1,089350… (+0,000225..
Si maintenant nous faisons la relation entre me/re et la racine cubique de mp/rp ce qui suit est une approximation de π qui diffère de la valeur exacte d’environ 6 ∙ 10-6
3,232733686…. : 1,02900917… = 3,141598… ≈ π = 3,141592…
En tenant compte du principe d’incertitude, il y a certainement des valeurs expérimentales possibles de me, re, mp et rp telles qu’il résulte correcte la relation que nous voyons ci-dessous
Cette relation de (me/re)/(mp/rp) avec π semble en soi très signifiante. Cependant, comme nous l’avons déjà noté, il semble remarquable le fait que la valeur de me/re est d’environ 2ℓP alors que mp/rp est d’environ (2ℓP /π )3. Cela signifie que, en tenant compte des fluctuations de la valeur des constantes en raison du principe d’incertitude, nous pouvons résumer ce rapport comme suit
Aussi la masse du proton mp = 1,6725 ∙ 10–27, semble avoir une relation avec π, même lorsqu’elle est considérée individuellement. Dans ce cas, si nous prenons l’angle correspondant à l’inverse de la valeur absolue de la constante, nous voyons que sa valeur nominale est énorme, mais que ses paramètres, naturellement, coïncident avec ceux d’un angle bien plus petit
x = 1/mp = 1/1,6725 ∙ 10-27 = 597907324364723467862481315°,39611 = -44°,603886397608370..
Mais, si maintenant nous allons jeter un coup d’œil à la tangente de cet angle, nous voyons qu’elle est très proche de -π2/10, alors que si nous en faisons par 3 fois le logarithme en base 10 (qui je symbolise avec “3log” ) de la valeur nominale de cet angle (naturellement multiplié par -1), nous obtenons un chiffre très proche de -h/10
tg -44°,603886.. = -0,986267745823.. ≈ –π2/10 = 0,986960440108.. (-6,926942.. ∙ 10-4
3log 44°,603886.. = -0,662902.. ≈ -h/10 = -0,6626
En outre, si nous divisons l’angle égal à 1/mp degrés par celui de -44°,603 .. élevé la à 17ème puissance, ce que nous obtenons est une valeur qui est très près de -ħ + 1, et donc aussi de -[(sen π/2 + cos π/2 + tg π/2 ) – 1]
1/1,6725 ∙ 10-27/-44°,603886397..17 = -0,054613241.. ≈ -ħ + 1 = -0,054571628.. ≈
≈ -[(sen π/2 + cos π/2 + tg π/2) – 1] = 0,054458788..
En outre, dans ce cas , si nous faisons la racine 27 = 128ème de 1/mp = 1/1,6725 ∙ 10-27, nous voyons que le résultat est très proche du nombre d’or, ɸ = 1,618033988 ..
128√(1/1,6725 ∙ 10-27) = 1,618797228.. ≈ ɸ = 1,618033988..
Cette double relation d’une constante physique avec π et ɸ semble devenir encore plus signifiante si nous considérons que, contrairement à ce que généralement on a pensé par les mathématiciens occidentaux, ces deux constantes sont entre elles commensurables, et donc nous pouvons dériver π de ɸ de la façon suivante
Puisque je pense que j’ai déjà dit l’essentiel de ce que je voulais vous dire, je m’arrêt ici. Toutefois, au cas où vous vouliez vérifier l’affirmation que j’ai faite ci-dessus, à savoir que des relations telles que celles qui nous avons montrées se répètent systématiquement, j’ai ajoutés à cette lettre, après la signature, quelques exemples encore, qui sont tout à fait similaires à ceux qui nous venons de voir. Comme vous pouvez imaginer, comme archéologue, je ne fréquente pas un milieu grouillant de personnes intéressées à ces questions. Donc, pour avoir une idée de ce que pourrait être leur valeur pour d’autres personnes, j’ai posté ce matériel sur mon site, thesnefrucode.com . Je me suis permis de vous déranger parce que, après environ deux ans que ce matériel a paru sur les indexes de Google concernant la Grande Pyramide (qui, comme vous le savez, a été étudiée par de nombreux mathématiciens, car elle a été construite précisément sur la base de π, ɸ et du nombre d’Euler), depuis quelques temps ses images sont entrées aussi dans les indexes qui traitent avec l’atome d’hydrogène.
C’est une chose que d’emblée peut étonner jusqu’au point d’être reléguée dans le domaine des pitreries rendues possibles par un réseau de communication accessible à tous, comme Internet. Mais s’il est vrai, comme il est vrai, que les proportions de la Grande Pyramide ont été conçues précisément sur la base de ces chiffres autour desquels semblent tourner les constantes de la reine des sciences empiriques, la physique, peut-être qu’il est temps de réévaluer la portée des connaissances de ceux qui l’ont construite.
Comme on le sait, 22/7 est la relation entre la moitié du périmètre et la hauteur de ce bâtiment. À ces proportions est connecté un angle de base égal à 51°,842773412630940423232561163186. Or, du double de cet angle nous pouvons obtenir les valeurs presque exactes des nombres caractéristiques du rayon classique du proton rp = 1,535 ∙ 10-18 m, de la masse du neutron mn = 1,6748 ∙ 10-27 kg, de la relation entre la masse et le rayon classique du proton mp/rp = 1,6725/1,535 = 1,089576547.., de la masse du proton mp = 1,6725 ∙ 10-27 kg, de la charge élémentaire e = 1,6022 ∙ 10-19 coulomb, de la longueur de Planck ℓP = 1,616252 ∙ 10-35 m, du rayon classique de l’électron re = 2,81777 ∙ 10-15, du rapport inverse entre les masses et les rayons classiques du proton et de l’électron mp/me = re/rp = 1,836 ∙ 103, de la constante de Dirac ħ = 1,054571628.. ∙ 10-34 joule ∙ sec. Et tout cela selon les modalités assez simples et élégantes que nous pouvons voir ci-dessous
En fait, tout le travail de ces deux dernières années m’a montré que les constantes de la physique forment un système harmonique qui tourne autour de π, ɸ et du nombre d’Euler, tout comme les mesures de la Grande Pyramide. Pour avoir d’autres preuves du sérieux de cette hypothèse, il vous suffira de dépenser seulement quelques minutes pour lire les formules que vous trouverez dans l’annexe à cette lettre.
Je vous remercie pour votre attention.
Gabriele Venturi
ANNEXE: quelques exemples de corrélation harmonique entre les constantes de la physique
Pour prendre un autre exemple, qui peut confirmer le caractère significatif de ceux que nous avons vu plus haut, nous pouvons commencer de la charge élémentaire e = 1,6022 ∙ 10-19. En procédant de la même manière que nous l’avons fait ci-dessus, nous voyons que ce système énigmatique de connexions continue. Dans ce cas, si nous prenons l’angle correspondant à l’inverse de la valeur absolue de la charge élémentaire, nous voyons qu’encore une fois il s’agit d’un angle dont la valeur nominale est énorme, mais dont les paramètres, bien sûr, correspondent à ceux d’un angle beaucoup plus petit
x = 1/e = 1/1,6022 ∙ 10-19 = 6241418050181001123°,4552490.. = 3°,4552490325802022.. ≈
≈ Ln 10√10 = 3,453877639..
Alors, si nous regardons quel est le sinus de cet angle, nous voyons qu’il semble avoir une relation avec le nombre caractéristique de la constante
sen 3°,4552490325802022219448.. = 0,06026892608702343792805..≈ (e – 1)/10 = 0,06022
Si maintenant nous divisons l’angle de 1/e degrés par celui de 3°,455249.. élevé à la 34ème puissance, nous obtenons une valeur égale à environ deux fois la valeur du nombre caractéristique de la constante qui décrit le rayon classique du proton, rp = 1,535
1/1,6022 ∙ 10-19 : 3°,455249..34 = 3,068917.. ≈ 2rp = 3,07 (-0,001082..
Ce résultat semble être lié à ce que nous obtenons en calculant par trois fois le logarithme naturel de 3°,455249.., qui vaut environ –rp = -1,535 (pour ne pas prendre trop de place, je vais symboliser les trois logarithmes naturels avec “3Ln” )
3Ln 3°,455249 = -1,536994.. ≈ -rp = -1,535
Cette connexion semble encore plus intéressante lorsque nous constatons que le nombre caractéristique de la charge unitaire e = 1,6022 peut être dérivé de ceux qui caractérisent la masse du proton mp = 1,6725 et son rayon classique rp = 1,535 de la très simple manière qui nous voyons ci-dessous
√(mp ∙ rp) = √(1,6725 ∙ 1,535) = √2,5672875 = 1,602275.. ≈ e = 1,6022
Ce que nous voyons ci-dessus signifie en pratique que, au niveau des nombres caractéristiques, les constantes qui définissent le proton donnent lieu à un système de ce genre
Nous retrouvons un morceau de cette énigmatique relation triadique lorsque nous regardons l’angle auquel correspond un sinus hyperbolique égal à 1/mp
sinh x = 1/mp = 1/1,6725 ∙ 10-27 = 597907324364723467862481315,39611
x = 62°,348625178378932314742098103575
La tangente de cet angle correspond à un nombre apparemment tout a fait insignifiant
tg 62°,348625.. = 1,9086532858829931065521343438763
Mais si l’on regarde l’angle qui correspond à 1/mp = 1/1,6725 ∙ 10-27 , nous avons une surprise. En fait son sinus est très proche du chiffre qui peut être obtenu en faisant deux logarithmes naturels consécutifs de la tangente de 62°, 348625 ..
x = 1/rp = 1/1,535 ∙ 10-18 = 651465798045602605°,86319218241.. = -25°,863192182410423452..
sin -25°,863.. = -0,436223806.. ≈ 2Ln tg 62°,348625.. = 2Ln tg 1,90865328.. = -0,436340009.. (+0,000116..
Je ne sais pas quelle sont vos impressions à propos de ces rapports. Tout ce que je peux dire est que j’ai trouvé des centaines de pages de rapports tout à fait similaires à ceux qui nous venons de voir, des rapports qui semblent capables de lier les constantes de la physique les uns aux autres dans un système rigoureux. Le sujet est vaste et complexe, et , malheureusement, jusqu’à présent le matériel a été publié presque exclusivement en italien. Mais sous peu on va publier la nouvelle version de Le Code de Snefru part. 3, où une grande partie de ce matériel sera rendu publique aussi en français. J’espère que le peu que vous avez vu dans ces pages puisse servir à vous convaincre de la plausibilité de mes hypothèses .
À UNE OMBRE, 2011
Un símbolo, una rosa, te desgarra
y te puede matar una guitarra.
- L. Borges
Même sur le jour le plus glorieux et sublime luit enfin
Le soleil couchant, et même sur la plus haute harmonie
Tombe enfin le rideau du silence. Ainsi s’accomplie
Notre intime, obscure essence, la mort, notre fin
Cachée, notre certaine et ultime, aride espérance,
Notre dernier dieu, dont pourtant s’alimente le mystère
D’être crées à cet inutile tourment, à cette errance
Qui de gouffre en gouffre nous emmène, raide sentier
D’épines sanglantes, des roses vagues et imaginaires,
Si fragiles et vaines que dans le rêve seulement une main
Rêvée peut-être peut cueillir. Si par prodige l’humain
Destin se rencontre avec l’incroyable merveille d’une joie, amères
Mâchoires l’arrachent à l’âme avec fureur d’affamée
Hyène. Ainsi, trop tôt il aura été en vain t’avoir aimée
Mon bien, mon Tout, mon adorée.
QUAND
Nadie hubo en él; detrás de su rostro (que aun a través de las malas pinturas de la época no se parece a ningún otro) y de sus palabras, que eran copiosas, fantásticas y agitadas, no había más que un poco de frío, un sueño no soñado por alguien.
- L. Borges
Quand il mourra “je”, il ne mourra personne, ou mourra peut-être
Ce quelqu’un que je n’ai jamais été. Une muette présence
Disparaîtra des yeux muets et vides, dans le vide miroir
Et muet, du matin, et une muette absence, ma présence,
Dans le vide et muet miroir des yeux d’autrui. Dans mon soir,
Peut-être, victime du temps inexorable, ou, qui sait, peut-être
De mes pas plus incertaines mains, fortes d’une résolution
Qu’oubliait tous doutes, qu’à chaque arrêt et regret,
Qu’à chaque rancœur pour toujours tournera le dos, embrassée
Enfin à ce néant, qui par l’oubli la fin douce et suave nous promet
De ce parcours d’illusions âpres et déçues, de la mémoire égarée
Entre les mémoires harcelées et vagues. Ce sera aussi l’instant de la révélation:
Je saurai finalement qui demande « qu’est ce que cela veut dire “moi”? »
Qui de toujours me cherche, pendant que de toujours je n’y suis pas.
Gabriele Venturi